Quand il s’agit du Maroc, l’ensauvagement généralisé du régime d’Alger gagne toutes les sphères et trouve désormais écho dans les médias de la planète entière. Il y a eu le véritable scandale provoqué par les représentants de la junte lors des travaux préparatoires du TICAD, qui se sont tout récemment déroulés à Tokyo, marqués par une entrée par effraction des séparatistes dans la salle des réunions et un cours de catch prodigué par un «diplomate» algérien qui s’en est pris à un représentant marocain. Un «événement» relayé par la presse du monde entier et dénoncé par le pourtant très «neutre» quotidien français Le Monde. «Tokyo a dû rappeler qu’il ne reconnaissait pas le mouvement sahraoui», lit-on.
Autre occasion, même attitude ou presque, celle de la tenue du 24 au 30 août à Alger des éliminatoires d’Afrique du Nord, qualificatives pour la 4ème édition de la Ligue des champions d’Afrique de football féminin, auxquelles participent les Marocains de l’AS FAR. Là encore, «le régime militaire algérien utilise une fois de plus le football pour défier le Maroc en enfreignant les lois», notamment de la CAF (Confédération africaine de football), écrit pour sa part le quotidien espagnol à grand tirage La Razon.
Et pour cause, le «système» a une nouvelle fois défié le Maroc en opposant son veto au lever de son drapeau pour la Ligue africaine féminine des champions. C’était le samedi 24 août lorsque l’AS FAR a affronté le club algérien FC Akbou.
«Bien que les lois de la CAF exigent que soient hissés les drapeaux nationaux des pays des deux équipes participantes, ainsi que les drapeaux de la CAF et de la FIFA, lors des compétitions parrainées par la CAF, le régime militaire algérien ne tient pas compte de ces lois et ne les respecte aucunement lorsqu’il s’agit de leurs clubs face aux clubs marocains», écrit La Razon. Un choix délibéré, précise le quotidien.
La Fédération royale marocaine de football a protesté auprès de la CAF pour ces «actions hostiles, très éloignées de la compétition sportive». Mais le match a bien eu lieu. Mieux, les Marocaines ont battu le club algérien du FC Akbou, non pas par un ni deux, mais par quatre buts à zéro.
L’équipe des FAR a déjà remporté la deuxième édition de la Ligue africaine des champions féminine qui s’est déroulée au Maroc en 2022.
Il y a quelques semaines, la Confédération africaine de football a sèchement rabroué l’Algérie en autorisant enfin que les joueurs de la RS Berkane portent leur maillot officiel, floqué d’une carte intégrale du Maroc. Une polémique créée de toutes pièces par le voisin avec le football comme prétexte. D’autres ont suivi et suivront sans doute, le régime enragé d’Alger n’ayant plus de limites et tous les prétextes devenant bons pour non seulement s’attaquer au Royaume, mais aussi pour insulter ses institutions et ses citoyens.