Retrouvailles andalouses: les artistes Faissal Ben Kiran et Pascual De Cabo exposent leurs toiles à Essaouira

L’Association Essaouira Mogador, en partenariat avec Medina Art Gallery de Tanger, a organisé, jeudi 27 octobre 2022, le vernissage de l’exposition «Retrouvailles andalouses» des artistes plasticiens Faissal Ben Kiran et Pascual De Cabo.

L’Association Essaouira Mogador, en partenariat avec Medina Art Gallery de Tanger, a organisé, jeudi 27 octobre 2022, le vernissage de l’exposition «Retrouvailles andalouses» des artistes plasticiens Faissal Ben Kiran et Pascual De Cabo. . Abderrahim Et-Tahiry / Le360

Le 29/10/2022 à 20h05

VidéoLe vernissage de l’exposition «Retrouvailles andalouses» des artistes plasticiens Faissal Ben Kiran et Pascual De Cabo a eu lieu jeudi 27 octobre 2022 à Essaouira, en marge de l’ouverture du 18e Festival des Andalousies Atlantiques.

L’Association Essaouira Mogador, en partenariat avec Medina Art Gallery de Tanger, a organisé, jeudi 27 octobre 2022, le vernissage de l’exposition «Retrouvailles andalouses» des artistes plasticiens Faissal Ben Kiran, Marocain d’origine andalouse, et Pascual De Cabo, Andalou passionné du Maroc.

Une association plus que symbolique, qui démontre que la culture reste la passerelle la plus solide entre les peuples marocain et espagnol. Deux peuples liés par leur proximité géographique, une riche histoire commune et surtout des affinités culturelles.

Né en 1975 à Tétouan, Faissal Ben Kiran grandit au sein d’une famille d’artistes. L’art dans les gènes, il décroche son baccalauréat en arts plastiques en 1995.

Diplômé de deuxième cycle de l’Institut national des beaux-arts de Tétouan, il s’engage dans l’enseignement et commence à exposer déjà au début des années 90. Il a exposé des toiles où figurent costumes traditionnels, andalous et marocains. D’une palette hyperréaliste, il nous plonge dans l’univers du Maroc andalou, son architecture et sa musique.

Quant à Pascual De Cabo, il s'intéresse, dans ses œuvres, à tout ce qui est lié au patrimoine architectural. Celui qui a décidé de s'installer à Tanger pour se ressourcer au Maroc, où il trouve une nouvelle inspiration et un renouveau artistique, ne cesse de célébrer les multiples facettes de ce havre de paix.

Par Hajar Kharroubi et Abderrahim Et-Tahiry
Le 29/10/2022 à 20h05