Moussa Diop

On connait désormais les 24 équipes qualifiées pour la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations après les cinq dernières places qualificatives revenues lors de cette 6e journée au Bénin, Soudan, Mozambique, Tanzanie et Botswana.

A l’issue de la 5e journée des qualifications, 19 pays sont qualifiés pour la phase finale de la CAN 2025 qui se déroulera au Maroc. Il reste encore 5 places à pourvoir lors de la 6e et dernière journée des éliminatoires. Voici la liste des équipes qualifiées et le programme de l’ultime journée des éliminatoires.

Des pays jusqu’ici réticents au déploiement de Starlink ont fini par céder et il est fort à parier que la proximité actuelle d’Elon Must avec Donald Trump dynamisera l’implantation de cette technologie dans certains pays africains. Mais le prix des services d’internet à haut débit de Musk est un obstacle à sa démocratisation en Afrique où la connexion est souvent de mauvaise qualité.

Le Sénégal a franchi la barre des 10 millions de barils de pétrole produits du champ Sangomar. La production connait une montée en puissance avec 2,82 millions de barils de pétrole brut extraits en octobre dernier, atteignant ainsi presque les 100.000 barils par jour.

Les deux dernières journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations, disputée au Maroc en 2025, se jouent du 13 au 19 novembre à l’issue desquelles 16 équipes s’ajouteront aux 8 déjà qualifiées. Sauf cataclysme, le Ghana, quadruple champion d’Afrique, va dire adieu à la compétition. Ce serait la plus grosse surprise de ces éliminatoires.

Échanges commerciaux, financements, aide au développement, sécurité, climat, diplomatie... En Afrique, les motifs de craintes, suite à l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, ne manquent pas. Cependant, si certaines appréhensions peuvent paraître légitimes, en revanche, le realpolitik et le business devraient finir par s’imposer.

Après le Brexit et l’influence grandissante de la Chine et de le Russie, le Royaume-Uni souhaite reprendre sa place en Afrique. Les Travaillistes au pouvoir depuis juillet dernier s’emploient à définir une «stratégie africaine renouvelée» qui doit être annoncée d’ici quelques semaines. Le ministre des Affaires étrangères britannique, David Lammy, vient de boucler un mini-périple africain qui l’a mené dans deux des plus grandes économies du continent, le Nigeria et l’Afrique du Sud.

La Banque mondiale, Goldman Sachs, Morgan Stanley et plusieurs autres institutions financières disent s’attendre à une baisse des cours du baril de pétrole sur le long terme. Une décrue qui ne manquera pas d’impacter négativement de nombreux pays africains producteurs mais surtout dépendants de l’or noir. À contrario, d’autres pays vont tirer profit de cette nouvelle donne qui favorisera la poursuite de la désinflation déjà observée.

Avec seulement 1% des primes émises, l’Afrique est le continent où le taux de pénétration de l’assurance est la plus faible au monde. De plus, seuls deux pays représentent 76,90% des primes d’assurance émises (vie et non-vie).