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Symbole de la faune marocaine et témoin d’une mémoire en voie de renaissance, le lion de l’Atlas a été au centre d’une conférence scientifique internationale organisée ce mercredi à Rabat. Chercheurs marocains et étrangers y ont débattu des enjeux de conservation de cette espèce emblématique, aujourd’hui préservée principalement au Parc zoologique national.

Annoncée à plusieurs reprises, l’ouverture du zoo d’Aïn Sebaâ à Casablanca continue de se faire attendre. La dernière promesse en date, émise par la maire Nabila Rmili, évoque une inauguration prévue pour la fin de l’année 2025. Un calendrier encore conditionné par l’achèvement de travaux de sécurisation ferroviaire à proximité du site. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

Depuis le début de l’année en cours, le jardin zoologique national de Rabat a vu la naissance de plus de 80 animaux que les visiteurs pourront découvrir à partir de juin 2025.

Situé au cœur du Lac Rose à Dakar, le parc exotique Le Mbossé est un véritable havre de biodiversité. S’étendant sur 1,5 hectare, cet espace abrite une variété d’animaux exotiques et sauvages.

En 13 ans d’existence, le Jardin zoologique national de Rabat s’est imposé comme un acteur incontournable de la conservation de la faune marocaine et africaine. Avec plus de 6 millions de visiteurs, des dizaines de naissances d’espèces emblématiques chaque année et des partenariats internationaux, il célèbre son anniversaire en renforçant son rôle éducatif et scientifique. Retour sur les réalisations et les ambitions de cet espace.

Le Conseil communal de Casablanca, présidé par Nabila Rmili, a approuvé le projet de contrat de gestion déléguée du Parc zoologique de Aïn Sebaa. Repoussée plusieurs fois, l’ouverture au public est officiellement prévue pour juin 2025.

Le Parc zoologique de Aïn Sebâa, dont la gestion a été confiée à l’entreprise Dreamvillage, s’apprête à ouvrir ses portes avec une politique tarifaire évolutive sur plusieurs années. La ville de Casablanca s’engage à financer l’acquisition d’une vaste collection animalière et à équiper les infrastructures pour un budget total de 70 millions de dirhams.

Situé sur la route de la nouvelle commune d’Akanda au nord de Libreville, le parc animalier d’Oyo, ancienne résidence privée de la famille Bongo, est accessible au public. Près d’une vingtaine d’animaux de différentes espèces gambadent sur ce site de neuf hectares. Panthères noires, pumas, lions, crocodiles et bien sûr les tigres golden, encore appelés tigres dorés... sont au programme d’une visite pleine de sensations.