Tous les articles correspondant à #UA

L’avenir de l’intégration africaine et de l’Agenda 2063 se joue aujourd’hui sur un front crucial mais négligé: la capacité de l’Union Africaine à assurer son indépendance financière. Dix ans après l’adoption de la taxe Kigali, le constat est sans appel. L’immobilisme des États membres étrangle l’organisation.

En reconnaissant officiellement le plan d’autonomie marocain pour le Sahara, le Royaume-Uni opère un virage stratégique qui pourrait peser lourd dans les équilibres diplomatiques régionaux et continentaux. Cette prise de position, attendue de longue date à Rabat, renforce l’axe Paris-Washington-Londres autour du dossier saharien, et ouvre la voie à un possible basculement au sein du Commonwealth et de l’Union africaine. Cet article est une revue de presse tirée du magazine Jeune Afrique.

Le roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations à Mahmoud Ali Youssouf, à la suite de son élection en tant que président de la commission de l’Union africaine, lors du 38ème Sommet ordinaire de l’UA.

La mission permanente du Maroc auprès de l’Union africaine (UA) a rendu hommage à l’action de Moussa Faki Mahamat durant deux mandats à la tête de la Commission de l’UA (CUA).

Selma Malika Haddadi, la candidate algérienne à la vice-présidence de la commission de l’Union africaine (UA) en charge des finances et des ressources humaines a remporté les élections. Mais pas contre n’importe qui: contre une candidate marocaine! Et c’est cela qui fait toute la différence.

Une délégation marocaine, conduite par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, prend part, le vendredi 14 février au siège de l’Union africaine à Addis-Abeba, à une réunion du Conseil de paix et de sécurité de l’UA au niveau des chefs d’État et de gouvernement consacrée à l’examen de la situation au Soudan et en République démocratique du Congo (RDC).

L’échec de l’Algérie à se faire élire au Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine à Addis-Abeba est un signe de la perte de son influence sur le continent africain. Le temps où la diplomatie algérienne utilisait l’argent du gaz pour acheter des voix est révolu. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.