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Dans un continent où la moyenne des recettes fiscales peine à dépasser 16% du PIB, une poignée de nations se distingue par sa capacité de mobiliser des ressources internes.

Solides et efficaces, les Aigles de Carthage ont dominé l’Ouganda (3-1), ce mardi 23 décembre au Stade Olympique de Rabat. Une entrée en lice réussie pour les Tunisiens, déjà bien en jambes.

La Tunisie fait son entrée en lice face à l’Ouganda ce mardi 23 décembre à 21h, au Stade Olympique de Rabat, et les supporters des Aigles de Carthage ont déjà donné de la voix pour pousser leur équipe.

Le plus grave, en 2025, ce sont les fondements existentiels de l’Algérie qui ont commencé à être sérieusement mis en question, ce qui a fait apparaître au grand jour qu’historiquement parlant, la «nation algérienne» est un «non concept».

Dans un communiqué, Akdital annonce avoir signé un protocole d’accord portant sur l’acquisition de 100% du capital de Taoufik Hospitals Group (THG), pour une valeur totale de 90 M USD. La finalisation de cette opération demeure conditionnée à l’obtention des autorisations réglementaires usuelles.

La CAN 2025 monte en intensité ce mardi avec quatre rencontres clés qui donnent le ton de la compétition. Des favoris en quête de confirmation aux outsiders désireux de créer la surprise, cette journée s’annonce décisive pour la suite du tournoi.

À la veille de son entrée en lice dans la Coupe d’Afrique des Nations, la sélection tunisienne a bouclé sa préparation à Rabat. Entre concentration sportive et messages de reconnaissance envers le Maroc, les Aigles de Carthage abordent leur premier match face à l’Ouganda dans un climat serein et confiant.

Les Aigles de Carthage sont arrivés, ce vendredi 19 décembre, à l’aéroport de Rabat-Salé, à l’approche de la Coupe d’Afrique des Nations CAN Maroc-2025.

À l’occasion du 15ème anniversaire du déclenchement de la révolution tunisienne, ce mercredi 17 décembre, des milliers d’Algériens ont convergé vers Tunis pour renforcer les rangs d’une manifestation de soutien au président Kaïs Saïed. Une ingérence vivement contestée par l’opposition tunisienne, qui y voit la preuve d’une vassalisation de la Tunisie au régime d’Alger.