Tous les articles correspondant à #Tunisie

Maroc, Egypte et Tunisie ont vu affluer un nombre en sensible augmentation des touristes à fin octobre. La compilation des données de ces premières destinations touristiques d’Afrique du Nord montre que le Maroc a damé le pion au pays des pyramides, devenant ainsi la destination la plus prisée du continent. Deux évènements majeurs devraient booster davantage les arrivées des touristes dans ces trois pays.

En organisant les états généraux de l’assurance, les 8 et 9 décembre, la Mauritanie ambitionne de développer un secteur qui ne représente que 0,33% du PIB, bien en deçà de la moyenne africaine qui est de 2%. En leur qualité d’investisseurs institutionnels, les compagnies d’assurances devraient jouer un rôle majeur au sein de la future Bourse de Nouakchott.

Dans un entretien accordé à Le360, l’ancien président tunisien Moncef Marzouki décrit une région du Maghreb en pleine reconfiguration, où la nouvelle approche onusienne du dossier du Sahara marocain redessine les rapports de force et confirme la centralité diplomatique de Rabat. Tout en accusant Alger de soutenir un Kaïs Saïed qu’il estime en fin de cycle, Marzouki voit dans ces bouleversements l’ouverture d’une phase décisive pour l’avenir du Maghreb, entre fin annoncée de l’autoritarisme tunisien et nécessité d’un repositionnement algérien. Entretien.

Le service de VTC Uber de retour à Casablanca et Marrakech. Réactions; Justice: sale temps pour les influenceurs. Après Ilyas El Malki, Soukayna Benjelloun à son tour en garde à vue pour diffamation; France: hommage à un youtubeur spécialisé en jeux vidéos décédé d’une attaque cardiaque; Tunisie: libération de la militante Sonia Dahmani, emprisonnée depuis 2024 pour avoir critiqué le président Kais Saied... Round-up.

Alors que l’Asie inonde l’Europe de textiles low-cost, le Maroc, l’Égypte et la Tunisie livrent une bataille inégale pour sauvegarder leurs parts de marché. Zoom sur les trajectoires de ces trois principaux pays africains base de sourcing de l’UE face à un tsunami concurrentiel dopé par la guerre commerciale Trump-Xi Jinping.

En 1962, Alger hérite d’un pays démesuré, taillé par le colonisateur, reposant sur d’immenses territoires dépouillés à ses voisins. Plutôt que de réparer l’injustice, elle la sacralise. Aux promesses d’amitié faites à Bourguiba et à Hassan II succèdent les manœuvres, les volte-face et la spoliation pure et simple. L’Algérie indépendante, loin de rendre ce qui ne lui appartient pas, a préféré s’asseoir sur le butin de l’empire français, et prétendre être un pays-continent.

Le Global Water Monitoring Report de la Banque mondiale dresse un constat sans appel pour l’Afrique. Le stress hydrique sur le continent n’est pas une projection lointaine, mais une réalité mesurable qui érode déjà les réserves d’eau, détruit des emplois, menace la sécurité alimentaire et exacerbe les risques environnementaux comme les feux de forêt.

Grèves de la faim et procès expéditifs rythment la vie en Tunisie depuis quelques années, selon plusieurs alertes répétées, lancées par des ONG et de la presse indépendante mais qui ne semblent pas émouvoir le régime de Kaïs Saïed, de plus en plus «sourd aux critiques».

Amnesty International a publié jeudi un rapport accablant sur la situation des migrants en Tunisie, décrivant des «violations des droits humains généralisées» et un système sécuritaire devenu, selon elle, profondément raciste. L’organisation internationale évoque des viols, des actes de torture, des refoulements illégaux et accuse l’Union européenne de soutenir via ses accords migratoires, le régime qui «maltraite ceux qu’il prétend accueillir».