Tous les articles correspondant à #Réserves de change

Réserves d’or: avec un stock de 22 tonnes, le Maroc se maintient au 63ème rang mondial
Alors que les réserves en or de Bank Al-Maghrib sont restées stables à leur niveau habituel, avoisinant les 22 tonnes, leur valeur s’est nettement appréciée de 29% en une année, pour atteindre les 18,7 milliards de dirhams à fin décembre 2024, résultat de la hausse du cours du métal précieux sur les marchés internationaux.
Le Royaume en route vers le convoité «investment grade»
Boosté par des fondamentaux solides, un soutien international crédible et une diversification industrielle accélérée, le Royaume suscite l’enthousiasme de JP Morgan, qui anticipe une entrée prochaine du Royaume dans le cercle fermé des économies «investment grade». Une perspective qui consoliderait davantage l’image de son économie, résiliente et résolument ambitieuse. Cet article est une revue de presse tirée du magazine hebdomadaire Challenge.
États-Unis: le retour de Trump pourrait compromettre l’indépendance de la Fed
Donald Trump voudrait bien avoir «son mot à dire» dans les décisions de la banque centrale américaine, la Réserve fédérale (Fed). De retour à la Maison-Blanche, il pourrait essayer d’affaiblir la précieuse indépendance de l’institution de politique monétaire.
Combien d’or Bank Al-Maghrib conserve-t-elle dans ses coffres?
Bien que les réserves en or de Bank Al-Maghrib sont restées stables à leur niveau habituel, avoisinant les 22 tonnes, leur valeur s’est appréciée de 8% en une année, pour atteindre les 14,5 milliards de dirhams à fin décembre 2023, résultat de la hausse du cours du métal précieux sur les marchés internationaux.
L’inflation contenue à 2,4% en 2024
Une accélération de la croissance économique, une inflation qui poursuivra son recul, un solde budgétaire qui maintiendra son amélioration… Les perspectives établis par CFG Bank pour l’exercice 2024 annoncent plus d’une bonne nouvelle. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.
L’Egypte négocie avec l’Arabie Saoudite et les Emirats de nouveaux dépôts de 5 milliards de dollars
Face à des réserves en devises qui s’épuisent, l’Egypte compte une fois de plus sur les pays du Golfe auprès desquels elle a sollicité de nouveaux dépôts d’un montant équivalent à 5 milliards de dollars. Le pays compte déjà environ 30 milliards de dollars de dépôts réalisés auprès de sa banque centrale par des pays arabes pour soutenir ses réserves en monnaies étrangères et locale. Ces dépôts visent plusieurs objectifs.
Encore un aveu d’échec du régime algérien: après des années d’interdiction, les importations à nouveau autorisées
Les autorités algériennes ont délivré, en catimini, des licences d’importation de nombreux produits, attestant ainsi de l’échec de la «politique économique» adoptée par le régime, synonyme de privations de la population algérienne avec à la clé des pénuries et des hausses des prix. Toutefois, si ces deux facteurs sont avancés pour justifier cette décision de reprise des importations, un autre facteur pourrait avoir beaucoup pesé sur la balance.
Egypte: la dette extérieure atteint le montant pharaonique de 163 milliards de dollars
La dette publique égyptienne ne cesse d’augmenter sous le double effet des emprunts extérieurs et intérieurs, représentant à fin juin 2023 l’équivalent de 95,60% du PIB du pays. Cet endettement pèse lourd sur les finances publiques. La part croissante de l’endettement extérieur inquiète du fait du service de la dette qu’il induit et qui pèse de manière conséquente sur les finances publiques du pays.
Réserves de change: Mais pourquoi l’or intéresse si peu Bank Al-Maghrib?
Contrairement à la tendance générale, qui voit les principales Banques centrales acheter massivement de l’or ces dernières années, Bank Al-Maghrib semble décidé à maintenir stables ses réserves du métal précieux, évaluées à 22 tonnes. Le conservatisme dont fait preuve le Maroc à l’égard de l’or est-il justifié?
La faillite économique algérienne
Le calcul est vite fait, et il l’a été par le FMI. Avec des réserves de change qui atteignaient 66,1 milliards de dollars fin mars 2023, et en supposant une baisse annuelle des réserves ramenée à seulement 10 milliards de dollars par année, contre presque 14 milliards sur la période 2018-2021, mi-2028, l’Algérie ne devrait donc plus pouvoir couvrir que quatre mois d’importations. Une situation de faillite et un scénario semblable à celui qu’a connu le Venezuela, avec toutes les conséquences politiques et géopolitiques d’un tel cataclysme.