Entre discipline budgétaire et explosion des recettes fiscales, le Maroc parvient à réduire sa dette publique tout en maîtrisant le coût de son financement. De 72,2% du PIB en 2020 à 67,7% en 2024, cette trajectoire promet un endettement de 65,8% du PIB en 2026, un niveau qui n’avait pas été atteint depuis plus d’une décennie. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Éco.