Au total, 30 députés sont impliqués dans des affaires de corruption, dont 16 issus de la majorité. En tête de ce triste palmarès: le RNI, parti du chef du gouvernement Aziz Akhannouch, suivi du PAM et de l’Istiqlal. Si ce flot de scandales ternit l’image du Parlement, il illustre un tournant salutaire, celui d’une justice qui frappe fort. Cet article est une revue de presse tirée de Jeune Afrique.