À moins d’un an des élections législatives de 2026, le paysage politique marocain s’active autour de la réforme du cadre légal des élections. Les partis, chacun avec sa vision, proposent des ajustements qui reflètent leurs ambitions politiques. Exemple: d’un côté, le Parti de la Justice et du Développement appelle à corriger les «distorsions» de 2021 pour renforcer la représentativité démocratique et, de l’autre, le Mouvement Populaire plaide pour le maintien du système actuel, jugé garant de pluralisme et d’équilibre institutionnel. Cet article, est une revue de presse, tirée du quotidien Al Akhbar.