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Issue d’un programme de recherche agronomique, une nouvelle race ovine baptisée INRA180 pourrait bien transformer l’avenir de l’élevage au Maroc. Alliant robustesse, fertilité élevée et rendement amélioré, ce croisement a été conçu pour accroître la productivité tout en allégeant les charges des éleveurs.

Dans le cadre des Hautes Instructions Royales visant à assurer la pérennité du cheptel national, une réunion interministérielle s’est tenue le vendredi 13 juin sous l’égide du ministère de l’Intérieur. L’objectif: définir les orientations stratégiques d’une opération cruciale pour la souveraineté alimentaire et la résilience du secteur agricole. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

Une vaste opération de reconstitution du cheptel national a été lancée: une réunion de haut niveau s’est tenue, ce vendredi, au ministère de l’Intérieur, réunissant ministres, responsables régionaux et représentants des secteurs concernés. Numérisation, gouvernance renforcée et mobilisation des acteurs locaux sont au cœur de cette démarche stratégique visant à redonner souffle au secteur de l’élevage.

Face aux tensions climatiques, à la baisse du cheptel et aux pressions sur la souveraineté alimentaire, le Royaume du Maroc opère un tournant stratégique en matière d’importation de bétail. En privilégiant les ovins destinés à l’engraissement et à la reproduction, le Royaume amorce ainsi une reconstitution durable de son cheptel, appuyée par un vaste programme de soutien aux éleveurs et des mesures structurelles. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

De jeunes trentenaires mettent à profit la fête de la Tabaski pour renflouer leurs finances. À des prix intéressants, ils proposent à leurs clients de dépouiller les têtes des moutons sacrifiés, communément appelé «malkou».

À la veille de l’Aïd al-Adha, les habitants de Dakhla adoptent une nouvelle stratégie pour célébrer la fête tout en ménageant leur budget: l’achat au détail de la viande de chameau. Face à la flambée des prix et à la rareté du cheptel accentuée par les années de sécheresse, plusieurs familles optent pour cette solution inédite, marquant un tournant dans les habitudes de consommation locales.

Pour la première fois depuis des décennies, les Marocains vont célébrer un Aïd al-Adha sans le traditionnel sacrifice du mouton. À Casablanca, cette décision inédite a bouleversé l’activité des marchés et modifié les habitudes des citoyens. Reportage entre le souk du Maârif et celui de Derb Sultan.

Les musulmans du Cameroun célèbreront, vendredi 6 juin, la Tabaski, mais il leur faudra trouver un mouton qui soit à la portée de leurs moyens. À Yaoundé, les parcs à bétail débordent sur les trottoirs, ovins et acheteurs s’entremêlent alors sous l’œil désapprobateur de la police. Mais qu’importe, c’est la fête.