Tous les articles correspondant à #médecine privée

Alors que le ministère de la Santé prépare un guide des médicaments génériques, médecins et pharmaciens s’opposent sur la question de la substitution. Sécurité des patients, formation, responsabilité, équilibre économique: chaque camp avance ses arguments dans un dossier à forts enjeux pour l’avenir du système de santé marocain. Avis de Tayeb Hamdi, médecin et chercheur en systèmes et politiques de santé et Amine Bouzoubaa, SG de la Confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc.

Certaines cliniques privées recruteraient des patients en bonne santé et bénéficiant de la couverture AMO Tadamon pour réaliser des examens et opérations fictives. Ces pratiques, orchestrées via des intermédiaires et des associations complices, permettraient aux établissements de percevoir des remboursements intégralement financés par la Caisse nationale de sécurité sociale, mettant en péril la santé des citoyens et les ressources publiques. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

Le groupe Akdital a procédé mercredi 23 avril 2025 à l’inauguration de l’Hôpital privé Guelmim. Ce 34ème établissement, représentant un investissement de 250 millions de dirhams, est doté de 126 lits et de 8 blocs opératoires. L’inauguration s’est déroulée en présence de nombreuses personnalités locales et du monde de la santé.

Traitements miracles, résultats immédiats, peu ou pas de convalescence: la médecine esthétique non invasive séduit de plus en plus de Marocains, jeunes et moins jeunes. Derrière cette promesse d’éternelle jeunesse, un marché en pleine expansion, alimenté par les réseaux sociaux, mais aussi un terrain miné par les dérives et les pratiques illégales. Entre discours marketing et réalité médicale, analyse d’un phénomène de société aux multiples facettes.

Une rumeur persistante avançait l’idée d’un recrutement de 800 infirmières et infirmiers d’Égypte dans diverses spécialités, moyennant un salaire de 1.200 dollars mensuels, ainsi que divers avantages en nature. Pointé comme étant à l’origine de cette annonce, le Groupe marocain de cliniques privées Akdital est catégorique. Cet article est une revue de presse tirée du magazine hebdomadaire Challenge.

Chaque année, des centaines de Marocains choisissent de s’installer à Dakar pour commencer ou poursuivre leurs études en médecine. Qu’est-ce qui pousse de plus en plus de Marocains à se tourner vers la capitale sénégalaise pour leur formation médicale? Une revue de presse du magazine Challenge.

Les étudiants en médecine continuent à faire pression sur le ministère de l’Enseignement supérieur; Alvaro Morata critiqué pour son dérapage pendant les célébrations du titre européen de la Roja; Le fantasque Gordon Ramsay, critique culinaire britannique, déclare la cuisine marocaine meilleure cuisine du monde en 2024 d’après un sondage de Pubity. Football: les joueurs argentins font encore polémique avec des chants racistes à l’encontre des joueurs de l’équipe de France. La Fédération française de football envisage de porter plainte. Round-Up.

Moi, mon remords, ce fut la victime raisonnable, au regard d’enfant perdue…

À Casablanca, la clinique Le Littoral du Groupe Oncorad franchit un nouveau cap en accueillant un robot dans son équipe médicale. Sous la direction du professeur Samlali Redouane, cette avancée en chirurgie robotique vise à améliorer les performances chirurgicales sans remplacer le chirurgien. En offrant des images améliorées et réduisant la fatigue, cette technologie, bien que 50% plus chère qu’une chirurgie traditionnelle au Maroc, reste trois fois moins coûteuse qu’en Europe. Un tel investissement a été rendu possible par le soutien de partenaires internationaux, notamment CDG Invest et la Caisse des dépôts et consignations, réunis par les fondateurs d’Oncorad, le docteur Samlali Redouane et le docteur Hajji Omar.