Tous les articles correspondant à #généraux

Signe que la fin est proche, les clans militaires se livrent une guerre impitoyable illustrée par les allers-retours dans la prison militaire de Blida de dix généraux-majors, soixante généraux et quatre-vingt-cinq colonels… La chute programmée de ce «Système» à bout de souffle et qui ne tient que par la force est d’autant plus prévisible qu’il s’est politiquement auto-piégé en faisant réélire le président Abdelmadjid Tebboune avec 94,65% des voix… mais avec 85% d’abstentions.

Aujourd’hui, après l’épuration des membres du clan du général Gaïd Salah dit «le glouton», c’est au tour du clan du général Chengriha de «profiter» de la fonction. Et ses membres brûlent les étapes, car ils n’ignorent pas que, quand leur chef aura passé de vie à trépas, ce sera à leur tour d’être épurés par les colonels et les généraux qui attendent de plus en plus impatiemment leur tour… Ce qui provoque la fureur épuratrice préventive des janissaires menacés.

Lundi dernier, le désormais ancien représentant des services de renseignement au sein de l’ambassade d’Algérie dans la capitale italienne, Rome, a fui vers la Suisse. Il y est arrivé avec toute sa famille, préférant prendre le large plutôt que de rentrer en Algérie, où il a été rappelé d’urgence. Selon plusieurs sources concordantes, le colonel Anis, alias Marwane, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a déposé une demande d’asile politique auprès des autorités helvétiques.

Un nouveau changement brusque a été opéré à la tête des services algériens de renseignements intérieurs. Moins d’une année seulement après sa nomination, le général-major Abdelkader Haddad, alias Nacer El Djenn a été limogé, mercredi 21 mai, et remplacé à la tête de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) par le général-major Abdelkader Aït Ouarabi, dit Hassan. Connu pour être le bras droit du l’ex-puissant général à la retraite Mohamed Mediène, dit Toufik, le général «Hassan», également ancien pensionnaire de la prison militaire de Blida, refait surface de façon inattendue.

Depuis lundi dernier, le général-major Yahia Ali Oulhadj n’est plus le chef du commandement de la gendarmerie algérienne. Il a été limogé brutalement, en attendant que son tombeur, le chef d’état-major et ministre délégué à la Défense, le général Said Chengriha, installe officiellement son remplaçant. Ce nouveau changement brusque à la tête de la gendarmerie est une preuve supplémentaire que dans le haut commandement de l’armée algérienne, qui a connu quatre limogeages ces cinq derniers mois, les règlements de compte sont la règle.

Contraint de se soumettre au diktat de la France, le régime algérien, en proie à une faillite politique, ouvre un nouveau front avec le Mali. Cette stratégie, qui révèle son incapacité à exister sans conflit extérieur, vise à masquer ses problèmes internes et à détourner l’attention de son échec concernant le dossier du Sahara marocain, l’amenant à chercher de nouveaux ennemis pour alimenter son discours hostile. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.

Une enquête menée par le ministère français de l’Intérieur met en lumière les pratiques mafieuses du régime algérien visant à porter atteinte à la réputation du Maroc. Le document souligne que les consulats algériens falsifient les identités d’immigrés algériens, dont plusieurs ont des antécédents judiciaires, en leur attribuant frauduleusement la nationalité marocaine. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.