Sept ans après «Sofia», récompensé par le Prix du scénario à Cannes (Un certain regard), Meryem Benm’Barek signe son retour avec «Derrière les palmiers», un deuxième long-métrage à la fois intime et politique, tourné à Tanger. Seul film marocain en compétition pour l’Étoile d’or au 22ème Festival international du film de Marrakech, l’œuvre s’impose comme l’un des temps forts de cette édition. Dans cet entretien, la réalisatrice revient sur la genèse du projet, les défis du financement, ses choix esthétiques et l’audace de certaines scènes.