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Confronté à une demande croissante en eau, le Maroc mise sur le dessalement. Six stations sont en cours de construction ou d’extension, avec une production attendue de 718 millions de mètres cubes d’eau par an. Les détails.

Le changement climatique signifie que la pénurie d’eau restera un défi pour tous les secteurs de l’économie marocaine, mais surtout pour l’agriculture, selon le cabinet de recherche BMI, filiale de Fitch Solutions. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

La Société financière internationale (IFC), filiale de la Banque mondiale, a annoncé le vendredi 13 septembre l’octroi d’un prêt de 100 millions d’euros au groupe OCP pour financer un projet visant à remédier à la pénurie d’eau au Maroc et à l’insécurité alimentaire en Afrique.

À travers la station de dessalement d’eau de mer d’Agadir, dotée d’une capacité de production initiale de 275.000 m3/ jour, mais aussi la future usine de Casablanca, appelée à devenir la plus importante d’Afrique, le Maroc est à l’avant-garde de la lutte contre le stress hydrique. Cet article est une revue de presse tirée du Wall Street Journal.

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement va soutenir le projet du port de Nador West Med. Ceci, à hauteur de 110 millions d’euros pour développer une zone industrielle et logistique. Cet article est une revue de presse de L’Observateur du Maroc et d’Afrique.

Depuis plusieurs semaines, Berrechid, ville située à 30 kilomètres de Casablanca, fait face à un stress hydrique aigu, traduit par des pénuries d’eau. La situation a donné naissance à un nouveau business peu fréquent en milieu urbain: la vente d’eau au détail par des marchands ambulants. Reportage.

L’agriculture marocaine, secteur le plus touché par le stress hydrique, ne bénéficiera que faiblement de l’effet positif du dessalement d’eau de mer. C’est ce qu’indique une note de recherche du cabinet international BMI, filiale de Fitch Solutions.

Les unités mobiles de dessalement d’eau de mer, installées au niveau du périmètre de la commune de Tamri relevant de la préfecture d’Agadir Ida-Outanane, continuent d’alimenter plusieurs douars en eau potable dans le cadre du premier programme d’urgence, et ce en attendant le lancement d’autres unités grâce à un nouveau programme financé par le ministère de l’Intérieur.

Ceux qui pensaient que la haine anti-Maroc était le propre d’un régime à l’agonie ont dû déchanter…