Tous les articles correspondant à #Administration publique

Dans un paysage médiatique où l’audace fait encore défaut, la série de capsules «Si Lkala», diffusée sur YouTube, apporte un souffle de vent nouveau. À travers des situations farfelues, l’humoriste Bassou dissèque, avec finesse et dérision, les rouages du favoritisme, du népotisme et des petites magouilles du quotidien. Dans cet entretien, il revient sur ses inspirations, ses choix artistiques et ses ambitions.

Après une pause d’un mois durant le mois sacré du Ramadan, les Marocains s’apprêtent à revenir à l’heure légale GMT+1 à partir de ce dimanche 6 avril à 2h00.

L’administration marocaine dans toute sa splendeur. Il faut connaître quelqu’un qui connaît quelqu’un. Ou graisser la patte. Ou faire un scandale. La solution en deux lettres: IA!

La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a annoncé la généralisation, depuis le lundi 10 mars, de la plateforme numérique «Ziara» à l’ensemble des établissements pénitentiaires. Cette fonctionnalité permet de réserver un rendez-vous pour la visite d’un proche détenu.

Durant le mois sacré du ramadan, les administrations, les établissements publics et les collectivités territoriales adopteront l’horaire continu de 09h00 à 15h00, a annoncé vendredi le ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration.

La Bibliothèque nationale du royaume du Maroc a abrité, ce vendredi, les premières rencontres autour du portail «Idarati», une interface d’information unifiée, intégrée et multi-espaces, qui met les informations administratives à la disposition de l’usager. Les détails.

Selon les données de l’Organisation Mondiale de la Santé, le Cameroun compte 1,9 infirmière pour 10.000 habitants, alors que le Québec en compte près d’une centaine. Comparaison n’est pas raison dirait-on, mais ces statistiques mettent à nu l’un des maux dont souffre le système sanitaire camerounais.

Pour louer des locaux pour ses ministères et administrations, l’État du Gabon dépense annuellement l’équivalent des recettes du secteur forestier, l’un des piliers historiques de l’économie du pays. Et qui profitent de ces juteux contrats de location? Des particuliers, pour la plupart proches des cercles du pouvoir, se murmure-t-il à Libreville où le mot mafia est sur toutes les lèvres. Le gouvernement de transition a décidé de mettre un terme à cette gabegie.

J’ai côtoyé assez de compatriotes en exil pour savoir deux ou trois choses que je tiens à la disposition de la future instance qui s’occupera de nous.