Deux mots à dire :ne vous cassez pas la tête.les méninges ce n'est pas de notre ressort.allez faire un petit tour du côté de l'Espagne et copiez.ce n'est pas compliqué.
Que pensez-vous de la cession du domaine public dans les plages à des particuliers?
C'est normal: les communes doivent chercher les moyens d'engranger de l'argent.
Ce n'est pas normal: les plages appartiennent au public.
Sans avis.
Deux mots à dire :ne vous cassez pas la tête.les méninges ce n'est pas de notre ressort.allez faire un petit tour du côté de l'Espagne et copiez.ce n'est pas compliqué.
Bonjour mesdames messieurs Je suis toujours outré lorsque je retourne dans mon pays et notamment à la plage particulièrement mohamedia en autre j ai quitté celle de Ain Diab à casablanca pour ces raisons payé payé payé pour tout sa place de parking sa place sur la plage toutes les choses qui me semblait appartenir au peuple est passer dans un marché limite... je remercie la commune de casablanca de reprendre les rennes sur ce dossier qui semblait de plus en plus dégoûté les vacanciers locaux et internationaux. J espère que mohamedia fera la même politique sur la plage de sablette.
C'est une honte! Cela n'arriverait jamais dans les plages des pays développés. Prenez le seul cas de Saidia, une plage d'une beauté reconnue, et qui se voit totalement défigurée par la concentration désordonnée et sauvage d'exploitants privés qui occupent tous les espaces jusqu'au bord de l'eau empêchant les citoyens de pratiquer une simple marche. Impossible en effet dans ces conditions de marcher librement au bord de l'eau plus de 50 mètres sans voir sa route coupée par les tables, chaises et autres parasols , jetskis, et autres obstacles! Mais que font donc les élus et responsables de cette ville?
Articles les plus lus
Bienvenue dans l’espace commentaire
Nous souhaitons un espace de débat, d’échange et de dialogue. Afin d'améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation.
Lire notre charte