Lors de son point de presse quotidien, organisé hier lundi 15 octobre à New York, le porte-parole de l'ONU, Stéphane Dujarric, a affirmé que "les quatre parties invitées à la table ronde" devaient venir "de bonne foi et sans pré-conditions".
La déclaration faite par le responsable onusien, cité par l'AFP, laisse entendre qu'Alger, partie au conflit, et Nouakchott, pays observateur, ont répondu positivement à l'invitation adressée par Horst Köhler, fin septembre dernier, à toutes les parties pour participer, les 5 et 6 décembre prochains, aux dicussions préliminaires prévues à Genève
Il faut néamoins souligner que, côté officiel algérien, rien n'a encore "filtré" au sujet de l'acceptation ou non de l'offre de dialogue faite par Köhler.
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Pour rappel, le Maroc a été le premier à répondre "présent" aux discussions de Genève (2 octobre), suivi du front polisario (3 octobre).
A toutes fins utiles, il faut préciser que l'ex-président allemand Horst Kohler avait invité non pas à des "négociations" mais à "une table ronde" pour remettre à plat les divergences en perspective d'une reprise des négociations directes pour trouver une issue politique définitive au différend régional.
