A la veille de chaque reprise du procès des 24 séparatistes comptables de la tuerie de Gdeïm Izik, perpétrée au mépris de l'article 3 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme (tout individu a droit à la vie), des thuriféraires du droit-de-hommisme bon marché pointent leur nez pour tenter de "faire pression" sur la justice marocaine, contredisant, sans le réaliser peut-être, leur appel claironné sur tous les toits pour un "procès équitable".
L'occasion de ce propos est la sortie, à la veille du procès, de trois députés français, Noël Mamère, Jacqueline Frayse et François Asensi, pour pointer, à l'Assemblée nationale française, un "procès politique" là où il y a mort de 11 éléments des forces de l'ordre dépêchés, mains nues, un certain 8 novembre de tragique mémoire, pour démanteler pacifiquement un campement de fortune dressé sur fond de revendications sociales, avant d'être instrumentalisé par des nervis téléguidés à partir d'Alger et de Tindouf à des fins de propagande séparatiste. Ils ont été tués de sang froid, aux cris d'"Allah Akbar", de la même manière que durant la tristement célèbre décennie noire en Algérie (années 1990)!
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A ce détail près qu'à Gdeïm Izik, les agents exécutants ont poussé la sauvagerie jusqu'à profaner les dépouilles de leurs victimes dont des sapeurs-pompiers! Les vues aériennes prises alors sur le théâtre de cette barbarie sont encore là et il n'est qu'à les revoir pour se rendre compte de l'incommensurable sauvagerie des impénitents "clients" des valeureux députés français, sans compter leurs relais ONGéistes, dont "Action des chrétiens pour l'aboliton de la torture" (ACAT, dirigée par Claude Mangin, la femme du sinistre Naâma Asfari, l'un des bourreaux de Gdeïm Izik).
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Simplement, les adeptes de ce "procès équitable à géométrie variable" sont trop aveuglés pour regarder la vérité en face. En se plaçant du côté des assassins, ils démontrent leur mépris envers le droit séculaire et le droit divin, dont l'un des dix Commandements de la Bible "Tu ne tueras point", celui-là même dont ils se revendiquent hypocritement, au détriment de la veuve, de l'orphelin, restés inconsolables depuis la perte des leurs, qui sont aussi les nôtres.
Notre pensée va aux martyrs du devoir, à leurs familles, proches et amis qui attendent, la main sur le coeur, d'obtenir réparation de la part de notre justice qui n'a de leçons à recevoir de personne.