Les raisons cachées de l’hostilité sud-africaine envers le Maroc

Nelson Mandela, Jacob Zumo et Cyril Ramaphosa.

De haut en bas: Nelson Mandela, Jacob Zuma et Cyril Ramaphosa.

L’Afrique du Sud est, avec l’Algérie, l’un des deux principaux rivaux du Maroc sur la scène africaine et l’un des adversaires jurés de son intégrité territoriale. Le fond historique et les intérêts des deux pays se croisent, mais la capacité de nuisance de Pretoria est, de loin, la plus redoutable et, à la date d’aujourd’hui, la plus efficace. À l’idéologie surannée de l’éternel parti au pouvoir, l’ANC, s’ajoute une lutte d’influence sans merci et dans laquelle la première puissance économique du continent s’autorise tous les coups. Analyse.

Le 25/11/2023 à 08h05

Il y a l’Algérie de la junte, dont la haine maladive à l’égard de tout ce qui est marocain est assumée. Pour lui donner corps, les exemples sont légion. À commencer par la création, le financement, l’hébergement, l’armement et le soutien à l’international d’une milice armée, nommons le Polisario, qui s’agite sur le dossier du Sahara. Vivant au passage sur le dos du contribuable algérien et par le détournement éhonté des aides internationales destinées aux populations séquestrées, auxquelles on refuse jusqu’au recensement. Mais s’il est un adversaire qui s’active plutôt en coulisses, avec une capacité de nuisance bien plus grande, s’agissant des causes sacrées, le Sahara en premier, et des intérêts du Maroc, c’est bien l’Afrique du Sud. Lobbying à tout va, réception en grande pompe des dirigeants du front séparatiste, évocation systématique de l’épouvantail des «droits des peuples», de la «lutte contre la colonisation» et des provinces du Sud comme «dernier territoire occupé d’Afrique» dans toutes les enceintes, continentales comme internationales… L’hostilité sud-africaine à la marocanité du Sahara est farouche, déterminée et, parfois, efficace.

L’Afrique du Sud et l’Algérie ont cela en partage que les deux pays se revendiquent d’un bloc d’idées tiers-mondistes d’un autre âge, celui de la Guerre froide, héritage d’un fond idéologique dont ne subsistent que quelques slogans utilisés en baume pour apaiser des colères internes et se donner bonne presse à l’international. Le tout est doublé d’une dette non avouée envers le Maroc et qui fait le lit d’une rivalité qui, elle, est des plus franches. «Tant l’Algérie, pour son indépendance, que l’Afrique du Sud, pour sa libération de la ségrégation raciale qui prévalait, doivent une fière chandelle au Maroc. À la gratitude d’hier s’est substituée une forme de refus de subordination, que rien ne justifie, et une opposition dictée par le fait que le Maroc est catalogué comme pro-occidental, alors que les parties au pouvoir à Alger comme à Pretoria sont, théoriquement, à compter dans le camp anti-Occident», explique cette source bien au fait des rouages de l’Union africaine (UA). Et de nuancer que si l’on s’en tient uniquement au critère de la lutte pour la libération, dont l’Afrique du Sud fait son ciment dans ses relations avec le voisin de l’est, Pretoria devrait faire du Maroc son principal allié sur le continent.

Et pour cause, le soutien du Maroc au peuple sud-africain lors de sa lutte contre les atrocités de l’apartheid n’est plus à démontrer. «En plus d’être le plus ancien, le soutien marocain a été le plus important», affirme notre source. Symbole de cette lutte, Nelson Mandela avait séjourné dans la ville d’Oujda, au Maroc, devenue le véritable quartier général de la résistance en Afrique de 1960 à 1962. C’est curieusement là où il va rencontrer les dirigeants du Front de libération nationale (FLN) algérien.

Financement, armes, entraînements… «Mandela ne revenait jamais du Maroc les mains vides», souligne notre interlocuteur.

Pour preuve, c’est à un leader marocain, et non algérien, que Mandela va rendre hommage pour sa contribution à cette guerre de libération: Abdelkrim El Khatib, ministre d’État aux Affaires africaines à l’époque et porte d’accès de l’ANC (Congrès national africain, parti actuellement au pouvoir, et dont Mandela était alors le chef de file). C’était en 1995, dans la ville du Cap en Afrique du Sud, et en présence de feu Dr El Khatib.

Le régime a muté et, depuis, une nouvelle génération de dirigeants de l’ANC a pris les commandes. Et une toute autre direction. «Le pouvoir de l’ANC s’est construit autour de deux principales idéologies: le discours anti-impérialiste et la soi-disant libération des peuples. Jusqu’à aujourd’hui, ce logiciel est toujours appliqué, cette formation étant particulièrement fermée à tout changement et hermétique du point de vue doctrinal. C’est comme si la Guerre froide était toujours en cours. On le voit à travers la farouche opposition à des pays comme le Maroc ou encore Israël, mis sur un même pied d’égalité», rappelle cet ancien diplomate. «Avec un régime militaire aux commandes en Algérie, la nouvelle génération de dirigeants sud-africains a trouvé un terrain d’entente sur la base de ces mêmes slogans et, surtout, une occasion pour diviser pour mieux régner sur le continent et affaiblir le rôle clé du Maroc sur la scène africaine. Plus le Maroc avance et ses progrès deviennent notables, plus leur acharnement gagne en intensité», explique l’expert en affaires africaines.

Les vrais enjeux sont ailleurs

Les vœux pieux cachent ainsi mal une réalité: les visées hégémoniques de Pretoria sur le continent africain, et dans lesquelles le Maroc est perçu comme un des principaux adversaires. «L’Afrique du Sud, qui prétend au leadership de l’ensemble du continent, a tout intérêt à voir une Afrique du Nord divisée et à couteaux tirés. Trois pays de l’Afrique du Nord sont parmi les six plus gros contributeurs dans l’Union africaine: le Maroc, l’Algérie et l’Égypte. Les trois autres grands contributeurs de l’UA sont le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Angola. La moitié donc des contributeurs de l’UA se trouve ainsi en Afrique du Nord et leur intégration régionale en bonne et due forme ferait voler en éclats le prétendu leadership sud-africain. L’hostilité de l’Afrique du Sud au Maroc a pour seul objectif une Afrique du Nord divisée et, partant, paralysée. Ce qui conforte le leadership de l’Afrique du Sud», analyse notre interlocuteur.

Pour cela, quoi de mieux que de jouer la carte du séparatisme. Si la pseudo-RASD réussit à s’infiltrer, à de rares occasions, dans des rencontres internationales où l’UA est partie prenante, c’est grâce et à travers l’Afrique du Sud. «Il faut reconnaître aux dirigeants de l’ANC au pouvoir cette qualité: ils n’hésitent devant rien, et pour imposer leur agenda, tous les moyens sont bons», indique notre source. L’annulation du dernier sommet UA-Ligue arabe prévu le 11 novembre à Riyad, à cause de l’obstination du duo Algérie-Afrique du Sud d’y faire inviter l’entité fantoche, est encore dans toutes les mémoires.

Tout comme la sévère fin de non-recevoir opposée par le prince héritier saoudien Mohamed Ben Salmane, qui, séance tenante, a décidé de remplacer la rencontre entre les deux institutions par un sommet saoudo-africain, dont le Polisario & Co étaient naturellement exclus.

Sitôt le sommet arabo-africain de Riyad reporté, l’Union européenne (UE) a annoncé à son tour l’ajournement sine die d’une réunion ministérielle attendue le 20 novembre avec l’UA. En cause, entre autres, la présence attendue de la RASD à cet événement. Une preuve de plus que l’entité séparatiste représente désormais un handicap majeur à tout partenariat entre l’Afrique et le reste du monde.

Notons que, jusque-là, les réunions rassemblant autour de la même table l’UA d’un côté et l’UE ou la Ligue arabe de l’autre sont les seuls événements où la pseudo-RASD peut se frayer un chemin, puisqu’elles concernent des relations d’institution à institution. Encore membre de l’organisation panafricaine, bien que de plus en plus indésirable, la république virtuelle en profite pour se glisser dans le concert des nations.

Le constat, d’après cette source informée, est que l’UA est aujourd’hui prise en otage par la RASD, qui l’empêche de développer des partenariats avec des pays qui ne reconnaissent pas cette entité. Or, aucun pays ni aucune organisation avec lesquels l’Afrique est liée par des accords de partenariat ne reconnaissent le mirage séparatiste. Il en va ainsi de l’UE et de la Ligue des États arabes. Comme il en va de même pour des pays comme la Turquie, l’Inde, la Corée du Sud, le Japon, la Chine, la France, le Royaume-Uni, les États-Unis ou encore les Émirats arabes unis. «À l’arrivée, nous avons une entité présente à l’UA et qui n’est reconnue par aucun des pays qui cherchent à développer des partenariats avec le continent. Cette seule réalité devrait pousser les pays africains à chasser ce corps étranger de l’institution continentale», explique cet observateur.

D’aucuns se souviennent à cet égard du fiasco total qu’a été la 8ème édition de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD), tenue entre le Japon et le continent africain en août 2022, à Tunis. C’était quand le président tunisien Kaïs Saïed, sur incitation d’Alger et de Pretoria, avait accueilli le chef de la milice séparatiste comme invité, alors qu’il n’en avait pas le droit. Le seul résultat tangible de cet énième rendez-vous manqué a été… la précision apportée par le Japon qu’il ne reconnaissait pas la RASD.

Les affaires, une autre paire de manches

Autre terrain de jeu de l’Afrique du Sud, les BRICS, ce groupement économique du «Sud global» dont elle est membre. L’Algérie avait d’ailleurs tenté d’y faire son entrée, en vain. Pour rappel, les responsables des cinq pays des BRICS, en l’occurrence le Brésil, la Russie, la Chine, l’Inde et l’Afrique du Sud, ont révélé, fin août dernier à Johannesburg, l’identité des nouveaux membres de leur club restreint: l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Arabie saoudite, l’Iran et les Émirats arabes unis. L’annonce de cette décision a eu l’effet d’un véritable choc à Alger. Mais qu’à cela ne tienne. «Le fait d’avoir fait circuler le nom du Maroc comme candidat à l’adhésion aux BRICS (rumeur démentie, NDLR) équivaut à une faveur voulant nuancer l’échec algérien en tentant de le confondre avec celui du voisin», explique notre source.

Mais que l’on ne s’y trompe pas. Si l’Algérie est un allié de circonstance pour Pretoria, c’est uniquement sur le registre de l’hostilité envers le Maroc. Dans les faits, il n’existe pas d’axe Alger-Pretoria. Les échanges commerciaux entre les deux pays sont quasi inexistants et l’Afrique du Sud se garde bien de défendre les intérêts de l’Algérie quand le Maroc n’est pas de la partie. En atteste, d’ailleurs, la candidature tonitruante de l’Algérie pour rejoindre les BRICS. L’Afrique du Sud l’a royalement ignorée, ne feignant même pas du bout de la langue de la défendre. Pretoria a en revanche défendu ardemment l’Arabie saoudite, qui ne marque pourtant pas d’enthousiasme à rejoindre les BRICS et s’est donné un temps de réflexion jusqu’à la fin de l’année avant de donner une réponse. Ce qui a vexé Pretoria et accentué l’humiliation d’Alger.

L’avenir jouera-t-il en faveur du Maroc? L’espoir est permis. L’hostilité de l’ANC n’a en effet d’égal que le profond respect que les autres forces vives de l’Afrique du Sud vouent au Maroc, ses réalisations et la confiance qu’il inspire. «À commencer par la communauté des affaires et les entreprises sud-africaines, qui sont non seulement asphyxiées par la corruption endémique qui règne dans leur pays, mais voient aussi dans le Maroc un potentiel énorme pour leur développement», souligne l’ancien diplomate. C’est le cas du géant des assurances Sanlam, qui a posé ses valises au Royaume en rachetant, en 2018, le marocain Saham Finances, pour la bagatelle de 1,05 milliard de dollars. C’est le cas également du géant de l’hôtellerie Kerzner International Holding, qui était derrière le Mazagan Beach & Golf Resort d’El Jadida. S’y ajoute un nombre conséquent de petites et moyennes entreprises.

Reste qu’à l’heure actuelle, l’ANC est fidèle tant à sa matrice qu’à sa prévarication. On notera que l’ancien président du pays, Jacob Zuma, a été condamné à 15 mois de prison pour corruption. Le même Zuma accuse à son tour l’actuel chef d’État, Cyril Ramaphosa, de trahison… et de corruption. On retiendra également que des secteurs entiers sont handicapés par ce phénomène galopant. Exemple en est la gestion de l’électricité. Dans le pays le plus développé d’Afrique, et dans de grandes villes comme Pretoria, les coupures de courant durent 5 à 6 heures en moyenne par jour. «En Afrique du Sud, toute la classe politique dirigeante ou presque est corrompue. Elle est donc achetable et l’Algérie n’hésite pas à sortir le chéquier pour s’assurer son alignement sur l’affaire du Sahara», conclut notre source. Corruption et intérêts géopolitiques sont ainsi de solides leviers pour alimenter l’hostilité sud-africaine envers le Royaume.

Par Tarik Qattab
Le 25/11/2023 à 08h05

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Tous les,coups sont permis par les chefs d'états sud-afrucains pour s'enrichir par la corruption à coups de millions de€ offerts par les Cabranats de Zanga-Pauvre (Blad dial Houk), et ils ne sont pas les seuls qui acceptent cette charité au risque de nuire à la stabilité du continent. Zanga-Pauvre, la Syrie et l'Iran sont à la base de la destruction du monde arabo-musulman.

Juste une question pour les lecteurs : Pourquoi tous les pays ou presque que notre royaume a aider héberger soutenu et financer leur lutte pour leur indépendance finissent toujours par se retourner contre nous et choisissent de nous mettre les bâtons dans les roues ???????????????????????????????

Juste une question pour ton inculture karghouli !Le Maroc a fait QUOI à ces traîtres et ingrats PAYS africains? RIEN! Choses que tu ignores se sont les pétro-$ des 2 chiens kadafou et boukharouba qui ont corrumpu dès 1975 les voyous dirigeants africains pour contrer le Maroc à récupérer ses terres colonisées par l'Espagne ! Malheureusement certains pays ont suivi l'appât du gain et la cupidité pendant les années 70, 80 et 90. Pourquoi la rasd a été acceptée de siéger en 1984 à l'UA pendant l'ère de la guerre froide? L'idée était de créer un état croupion pro-pays de l'Est communistes pour couper définitivement la suite naturelle du Maroc vers l'Afrique, alors que le Royaume était pro-pays occidentaux! Question? Qui a inscrit en 1963 à l'ONU pour la décolonisation du SO? La junte Dz? Libye?

Très bonne question ! Personnellement, j’attribue l’entière responsabilité à l’incompétence de ceux qui ont sacrifié, consciemment ou inconsciemment, les intérêts stratégiques du pays, au profit d’autres causes, sous l’influence de considérations à la con !Maintenant, ce qui est fait est fait ! Il importe surtout de ne pas répéter les mêmes erreurs. Malheureusement, certains n’ont rien appris des leçons de l’histoire , Heureusement que ce ne sont pas eux qui définissent les orientations !

« Le gouvernement a également donné la priorité à des industries spécifiques, telles que l’automobile, l’aérospatiale, l’électronique et la transformation agro-industrielle, relève-t-il, arguant que le développement des ZES du pays ont été soutenues par la stabilité politique, le coût relativement faible de main-d’œuvre qualifiée et la proximité de l’Europe. » Ce sont ces bénéfiques atouts qui dérangent les dirigeants de l’Afrique du Sud et ceux de l’Algérie.

@Nawel, le Maroc n'a pas choisi ce nom de baptême, mais lui a été attribué par la France d'une contraction de Marrakech. Sinon, le vrai et unique nom du Maroc, n'en déplaise aux aigris et amers de tous bords, est bel et bien al Maghrib (al aqsa). Replonge dans tes livres d'histoire, à moins que ta mauvaise foi ou une réaction phobique à tout ce qui se rapporte à ce nom ; salat al magrhrib, al maghrib par opposition à al machriq, etc. L'Algérie est bien français.

Comme a dit le grand penseur Jean-Claude Van Damme, "quand tu prends confiance en la confiance, tu deviens confiant". Relis ton 1er commentaire et ma réponse, et tu constateras que la mauvaise foi est plutôt de ton côté. La contradiction que tu apportes dans ta tentative d'explication ne faisant qu'ajouter de la confusion. Du coup, je ne cherche même pas à comprendre pourquoi tu mets en doute ma probité. Je pense à un réflexe pavlovien. Bien à vous.

Les deux "se ressemblent" ? Seulement en apparence. Le pouvoir ANC a de liens militants avec les pionniers sinon par le lien familial .Le pouvoir Algérien n'est en rien salil des militants ,les vrais, à force de luttes entre oujdis et ceux de l'intérieur ,de coups d'états ,de l'accaparement du pouvoir par les intrus militaires de l'armée Française ;les dits maquisards de dernière heure...En Afrique du sud ,il y a une société civile, le parti de Buthelezi, des hommes d'affaires ,des Afrikaners sages....un monde qu'on peut approcher sinon neutraliser les positions. Et le temps pour se débarrasser de la culpabilité. On attendait bcp du chevronné Amrani. Bref ADS peut évoluer ,l'algérois aussi ....quand les apparatchiks sautent

AdS, encore un pays traitre. Le Maroc avec toute sa bonté devrait quand même mettre les intérêts sud africains dehors. D’ailleurs comment peut on faire confiance à un pays qui n’est même pas capable de se donner un vrai nom? 😜

@ kaWa, Donc, selon vous , tout le match se joue au niveau des noms 😂😇. Il y en aurait ainsi des vrais et des faux!! À ce titre, que pensez-vous de “ عين حلوف " , sur la route de “ عين عودة " , ou de “ مريزيگة " à Casablanca, déformation phonétique de “mer des égouts “ ??? صحيح أن الرگيع موهبة

Le nom d'Afrique du Sud reprend en fait sa situation géographique tout comme le Maghreb qu'a choisi le Maroc pour se désigner comme pays. 😜

Parfois, la victime devient une copie de son agresseur. Vivre longtemps sous le système de l'apartheid, dans une société qui n'a pas une longue histoire, fait d'eux les enfants spirituels du régime raciste, et eux-mêmes ruminent la vision raciste et souhaitent asservir l'Afrique du Nord.

Pour se faire entendre d' 1 sud africains où le sensibiliser il faut parler selon son codage et sa matrice historique . Coloniale Pour avoir voyage 13 ans en afrique et avoir vu tous le pays et les locaux j 'ai idée Pour les convaincres il faut leur parler des massacres des resisistants, de la famine de 1947, de l'apartheid local à gare oulad ziane , des bougafer , d' anoual , de oued zem , d'el lehri, et des pages sombres de l'histoire sanglante du colonialisme franco espagnol pour conquerit et deposseder l''empire cherifien.

En matière d’ingratitude à l’égard du Maroc,l’Algérie continue de conserver sa première place, suivie de l’Afrique du Sud. La médaille de bronze revient à la Mauritanie à qui ,feu Hassan II avait cédé en 1975, le tiers du Sahara , et pour sa défense contre les attaques du polisario plusieurs soldats marocains sont morts . Malgré tout, elle a reconnu la rasd . Dans ce palmarès, la Tunisie occupe le 4 e rang , ayant oublié le soutien inconditionnel que lui a apporté le Maroc lors de l’agression de Gafsa télécommandée par Boumediene et Kadhafi. Ces cas méritent d’être bien soulignés à l’heure où certains appellent à sacrifier, encore une fois, les intérêts du Maroc pour ceux d’autres qui n’ont même pas attendu la fin de la partie pour montrer leurs vrais visages, tel ce taré de Hamas.

@Driss: Ne nous cachons pas la face. L"attitude de ces deux pays est la conséquence directe et bien identifiée des basses oeuvres du régime militaire DZ. Mokhtar Ould Dada a été renversé par un putch téléguidé par Boukharrouba, comme punition pour saon alliance avec le Maroc. Quant à Kaiss Saed, il a été soigneusement mis sous tutelle financière DZ, pour l'amener docilement à admettre une tutelle politique concrétisée par le vote Tunisien àl'ONU, et l'accueil royal de Brahim Ghali à Tunis lors de TICAD ( sommet Japon-UA).

Quelle honte pour le régime Harki alge-rien des femmes jalouses du continent africain mais dieu est grand ils resteront les derniers des derniers et c'est déjà le cas aux diables les femmes jalouses Harki

L afs sait bien que le Maroc est un concurrent redoutable et menaçant sur le domaine économique en Afrique et en Europe.

Nous restons très loin en dessous quand même en raison d'une inflation de reglementation et de.legislation centralisee qui brident l".économie et l'industrie locale

Mandela à Berkane et nn pas à pas Oujda exactement dans la ferme de Belhadj.

Article interressant. Mais il faut arrêter de se plaindre et de se poser la question suivante: Pourquoi nous avons "perdu" l'Afrique du Sud ?

Exactement Math khalinin chli mat khalini nbki

Ok, admettons que les dirigeants du gang nommé l’ANC (pas l’Afrique du Sud) continueront à s’opposer aux intérêts du Maroc, et que le régime criminel des caporaux algériens s’obstinera à maintenir en vie son groupe de mercenaires, il restera la communauté internationale dont la majorité appuie l’intégrité territoriale du Maroc. Surtout quand on parle des grandes puissances de ce monde qui sont, par principe ou pour d’autres raisons, allergiques au séparatisme. Un phénomène qui, quand on y voit de près, n’épargne aucune nation. En effet, aucun pays n’est à l’abri de ce phénomène, vu que les sociétés sont pour la plupart ethniquement. Culturellement ou religieusement hétérogènes. Quant à l’ANC, il n’est plus un parti politique. Il s’agit actuellement d’un groupe criminel voué à l’implosion!

L'Afrique du Sud n'est pas un pays sérieux. Il faut arrêter de penser qu'on va arriver à un compromis si on fait du business avec eux, ça c'est la manière anglo-saxonne de voir les choses. Le donnant-donnant marche avec les Européens, pas avec le reste; l'Algérie et l'Afrique du Sud en sont les exemples.

Bof, les gangster de l'ANC avec leurs plus grands township d'afrique, quartier pauvre et bidonvilles réservés aux non-BLANCS, ces zones urbaines sont principalement occupées par des populations NOIRES ou des africains travailleurs d pays voisins de l'AFD, déplacés de force au nom des lois du bon voisinage,malheureusement existent TOUJOURS au pays des gangsters de l'ANC (voir les réseaux sociaux). Gallek puissance africaine, certes grâce aux blancs qui détiennent la majorité des entreprises sud-africaines, telles les banques, les minerais de diamant, de l'or, de l'industrie, le portuaire, l'industrie aéronautique, ferroviaire etc.(voir le Net + les réseaux sociaux). Les incompétents de l'ANC sont au gouvernement pour la décoration et y profitent sur la misère des Sud africains, comme la junte Dz

L’inflammation cognitive, quand la bonne attention se retourne contre le bienfaiteur. A force de se noyer dans les problèmes des autres, les pauvres marocains ont développé un syndrome d’empathie à l'égard de soi-disants opprimés (hier le FLN Algérien, l’ANC sud africain, le FATA Palestine et aujourd’hui par endoctrinement inepte la Hamas ) oubliant par là de défendre en premier leur droit à récupèrer Sebta & Melilla , le Sahara oriental, La Güera et la partie neutre du Sahara marocain devenu un nid des terroristes Polisario. Leur seul souci actuel est le conflit israélo-palestinien à des milliers km. Faut bien distraire les sympathisants PJD et d’autres pour des fins électoralistes ….. L'idiotie est du côté de l’ignorance et la bêtise surgirait par saturation ….

cette photo en noir et blanc prise a Oujda alors que l'algérie n'était pas "née" et disposant au 1er plan la racaille du FLN en dit long sur ce qu'est l'ingratitude puissance XX. D'abords du soutient plein et entier de feu Hassan II a l'ANC et la libération de mandela et celui de l'abri et soutient en tout accordé au FLN et l'ALN sur le sol marocain de 56 a 62. Le Maroc est de loin un honorable hôte et défenseur des causes de décolonisations, mais comme le complexe 'être redevable a un ci petit pays de surcroit royaume, chose détestable chez les pseudo révolutionnaires. De nos jours, le Maroc paie d'avoir été honorable et bienveillant, jusqu’à permettre le mélange du sang entre algérien et marocain en cette période. Le Maroc doit tenir compte et voir l'avenir sans l'algérie d'aujourd'hui

L'hostilité de l'Afrique du Sud est fragile. Elle est l'œuvre d'une élite politique opportuniste. Notre tissu économique et l'habilité de nos hommes d'affaires est à même de mettre un terme à cette hostilité et de convaincre la future classe dirigeante sud-africaine à agir positivement en faveur des intérêts économiques supérieurs pour nos deux pays. L'économie fera ce que la politique est incapable d'accomplir.

Fallait bien comprendre , Merci Les Cavaliers du Veld.

Il est de fait que le plus grand ennemi des principes est l'intérêt. Et l'intérêt de celui qui vous considère comme un concurrent est toujours de vous eliminer de la course. On ne fera jamais un ami de celui qui vous est redevable et vous souhaite le pire pour vous diminuer ne plus avoir à vous admirer. Dieu nous préserve du mal issu de ceux auxquels on a fait du bien...

Bonjour, L' ANC est une fabrication humanitaire internationale.... Première économie Africaine ? Merci qui ? Merci les Vêldes ! L'Afrique du Sud souffrent du complexe de la royauté associé au Syndrome du Swaziland et Lesotho.

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