La nouvelle divagation de l’APS, usine à fake news des caporaux algériens, envers le Maroc

Entrée d'Algérie Presse Service (APS), l'agence au service de la propagande diffusée par Alger.. DR

Revue de presseEncore une fois dans l’objectif manifeste de nuire aux institutions marocaines, Algérie presse service (APS) vient de publier une «information». La «dépêche» reprend les propos d’un ressortissant marocain, qui a en fait été condamné par la justice italienne pour des faits d’escroquerie. Une revue de presse d’Assabah.

Le 17/01/2024 à 21h06

Une «information» de l’APS, l’agence de presse algérienne, est visiblement fabriquée de toutes pièces. C’est, de plus, une fake news qui relaie les propos d’un individu ayant des antécédents judiciaires. Pour l’APS, le fait est récurrent: cette fois encore, sur le fil de l’agence algérienne, une dépêche ayant trait au Maroc relaie des «informations» à la provenance douteuse. Cette fois-ci, ce sont les divagations d’un ressortissant marocain qui sont rapportées.

L’individu qui a émis ces déclarations a fait l’objet d’une condamnation par la justice italienne, pour des délits liés à une série d’escroqueries, indique Assabah de ce jeudi 18 janvier 2024.

Ce que vient à nouveau de commettre l’APS, explique le quotidien, a pour but de «nuire à l’image du Maroc», l’Algérie restant plus que jamais décidée à continuer de «s’enfoncer dans son délire, en reprenant des pseudo-informations colportées par une personne souffrant d’un syndrome lié à des persécutions imaginaires», et qui «se livre de manière compulsive à des activités droit-de-l’hommiste».

C’est mardi dernier 9 janvier 2024, indique Assabah, que l’APS, porte-parole des «caporaux» aux manettes à Alger, a publié cette dépêche comportant ce curieux titre: «De hauts responsables sécuritaires marocains font l’objet d’un mandat d’arrêt international».

Une source diplomatique, interrogée par le quotidien, dément catégoriquement «le contenu mensonger et factuellement faux» de cette dépêche de l’APS. Un contenu qui s’inscrit, d’ailleurs, «volontairement dans une ligne éditoriale attentatoire à l’image du Maroc», que prône de longue date cette agence de presse.

Cet interlocuteur d’Assabah confirme, s’il en est besoin, que «les institutions sécuritaires du Royaume sont connues dans le monde entier pour leur rigueur, leur savoir-faire et leur professionnalisme».

Le choix du Royaume pour l’accueil de la 93e Assemblée Générale d’Interpol en témoigne largement, précise par ailleurs le quotidien, et ce n’est là qu’un exemple parmi bien d’autres.

Assabah affirme aussi qu’il n’est pas surprenant que l’APS publie régulièrement ce type d’écrits pernicieux, qui font fi des règles les plus élémentaires de l’éthique et de la déontologie. Ces agissements font partie du credo que l’agence de presse algérienne a fait sien et qui consiste, selon le quotidien, «à chercher à nuire délibérément, et par tous les moyens, aux institutions marocaines, piliers de la sécurité et de la stabilité du Royaume».

Le régime au pouvoir à Alger, explique Assabah, cherche en effet depuis toujours à décrédibiliser et à minimiser les prouesses accomplies par le Maroc, à l’échelle internationale, en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme et la criminalité sous toutes ses formes, alors même que les services de sécurité marocains sont connus dans différentes capitales du monde pour leur expérience, leur savoir-faire et leur expertise.

S’il faut encore des preuves, ajoute le quotidien, il y a lieu de citer la coopération exemplaire des services marocains avec leurs homologues américains, dans leur lutte conjointe pour endiguer le terrorisme, dans le contexte des efforts menés dans le monde entier pour endiguer ce phénomène et neutraliser, par la même occasion, l’ensemble des menaces qui pèsent sur la sécurité et la stabilité régionales.

Washington, conclut Assabah, «accorde une attention particulière à la main tendue des services de sécurité marocains à leurs homologues des pays occidentaux pour lutter contre l’extrémisme et les organisations terroristes, que ce soit au niveau régional ou international».

Par Amyne Asmlal
Le 17/01/2024 à 21h06