Tous les articles correspondant à #généraux

Que Dieu guérisse les dirigeants d’Alger de leur «marocophobie»!
La série des succès diplomatiques du Maroc et la dynamique positive de la question du Sahara fait enrager les généraux d’Alger. En une semaine, ils ont lancé, à coups de millions d’euros, un autre projet séparatiste, mort-né, à l’encontre du Royaume, et ouvert une nouvelle crise avec la France. Une revue de presse du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Algérie: le général Saïd Chengriha inaugure son intrusion au gouvernement par le limogeage du numéro 2 de l’armée et un délire paranoïaque
À peine a-t-il enfilé son nouveau costume de ministre délégué de la Défense que le général Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’armée algérienne, tente déjà de frapper les esprits en limogeant le général-major Ammar Athmania, commandant des forces terrestres et numéro 2 de l’armée. Et c’est Tebboune qui en prend un coup direct. Non seulement son clan a perdu le joker qu’il comptait utiliser contre l’omniprésence de Chengriha, mais ce dernier a également saisi l’occasion du limogeage de son potentiel remplaçant pour afficher ouvertement sa nouvelle envergure politique, à travers un discours, certes sans relief, mais très vindicatif envers les prétendus comploteurs étrangers contre le régime.
Digital: la nouvelle guerre du régime d’Alger contre le Maroc
Pour tenter de contrecarrer les succès diplomatiques remportés par le Maroc ces dernières années, l’Algérie et ses généraux utilisent une armée de «mouches électroniques» pour ternir son image. Des moyens colossaux sont déployés pour, espèrent-ils, déstabiliser le pays en influençant son opinion publique. Cette revue de presse est tirée d’un article d’Assahifa.
Algérie: après le limogeage de Djebbar M’Henna, Tebboune nomme son 7ème patron des renseignements extérieurs
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune, fraîchement désigné dans des conditions iniques pour un second mandat à El Mouradia, a limogé, jeudi, le patron de la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure (DDSE), le général Djebbar M’Henna. Le général Mohamed Rochdi Fethi Moussaoui, son successeur, pas encore annoncé officiellement, mais quasiment confirmé, devient ainsi le 7ème patron de la DDSE sous l’ère Tebboune. Un nouveau record dans un pays à l’instabilité systémique.
«Au moins quatre millions d’Algériens en dépendent»: la prostitution, un secret mal gardé par le régime d’Alger
La prostitution gangrène la société algérienne dans des proportions inédites. En dépit du verrouillage du régime et de sa censure de toute information liée au phénomène, des chiffres documentés parlent d’au moins quatre millions de personnes qui vivent, en Algérie, de la générosité des clients accros aux relations tarifées. Quand on sait que les porte-voix du régime font de ce sujet un leitmotiv pour attaquer le Maroc, il y a lieu de leur rappeler ce célèbre proverbe arabe sur le chameau qui ne voit pas sa bosse.
L’œil de Carlos. À Bobardland, le cirque, c’est toute l’année
L’œil de Gueddar. Les généraux d’Alger à la pendaison hydrique
Algérie: l’ex-DRS se réinstalle en force et dépouille Tebboune de tout pouvoir avant son second mandat
Les officiers protagonistes de la décennie noire des années 1990 ont mis à profit le premier mandat d’Abdelmadjid Tebboune pour reprendre les rênes du pouvoir politico-militaire en Algérie. Après une traversée du désert de cinq ans, à la suite de sa dissolution en 2015, l’ex-puissant Département du renseignement et de la sécurité (DRS) reprend en main tous les services de renseignement. Il vient ainsi de boucler la boucle avec la récente nomination du général Abdelkader Haddad, alias Nacer El Djen, à la tête de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
L’œil de Gueddar. Rapt d’Amir DZ: les généraux «Usual suspects»
Algérie: pour avoir déterré un énième crime de Boumédiène contre les Moudjahidine, le journaliste Farid Alilat a été expulsé de son pays
On savait que l’Algérie était une vaste prison à ciel ouvert, où des milliers de citoyens, dont des opposants au régime, des responsables militaires ou civils tombés en disgrâce, des chefs de parti politique et des journalistes, sont sous le coup d’une «interdiction de quitter le territoire national» (ISTN). Mais la junte locale vient d’innover en faisant de l’Algérie le premier État au monde à empêcher l’un de ses citoyens, né en Algérie et détenteur du seul passeport algérien, d’entrer dans son propre pays. C’est le cas du journaliste Farid Alilat, qui vient d’être refoulé de l’aéroport international d’Alger pour avoir déterré le passé assassin de l’un des fondateurs du Système.