Rien ne va plus pour le Polisario encore moins pour sa marraine l'Algérie, qui essuie revers après revers dans sa tentative inlassable et néanmoins désespérée de nuire aux intérêts suprêmes du Maroc, à leur tête son intégrité territoriale. Passons sur leur cuisante défaite sur le registre de l'accord de pêche, qui vient d'être paraphé aujourd'hui même par l'Union européenne et le Maroc. Après l'UE, c'est Google qui est désormais en ligne de mire du front séparatiste qui a mobilisé ses ouailles médiatiques pour contester la décision du géant du Web de supprimer le trait séparant le Maroc de son sahara, tout en zappant définitivement de sa carte la dénomination "Sahara occidental".
"La société Goggle spécialisée dans la cartographie transgresse le Droit international au Sahara occidental", croit savoir ce site polisarien parrainé par le dénommé Mohamed Ould Bouhali, ancien "vizir" de la soi-disant "armée sahraouie", et partisan invétéré de la reprise des hostilités contre le Maroc.
Ledit site oublie, à l'insu de son gré, que la décision de Google ne date pas d'aujourd'hui et qu'il ne s'agit là que d'une simple mise à jour de ses données cartographiques. En effet, la décision date du 27 avril 2013 quand cette entreprise américaine fondée en 1998 dans la Silicon Valley, en Californie, par Larry Page et Sergueï Brin, avait supprimé le trait séparant le Maroc de son Sahara.
Google n'a fait que confirmer une évidence en zappant de sa cartographie une entité qui n'a aucune existence et qui n'en aurait jamais, en dehors de l'imagination morbide des apparatchiks algériens octogénaires.