Dans son verdict, la Cour constitutionnelle s’est appuyée sur une demande du président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi Alami, qui a informé l’institution que Mohamed Boudrika, alors questeur de la Chambre, s’était absenté pendant plus d’un an «sans raison valable».
Rachid Talbi Alami a invoqué l’article 12 de la loi organique 27-11 relative à la Chambre des représentants.
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En conséquence, la Cour a déclaré vacant le siège de député d’Al Fida Mers Sultan à Casablanca. Ce mandat devrait, en principe, être attribué au deuxième candidat de la liste électorale de cette circonscription casablancaise.
Incarcéré à Hambourg, l’ancien président du Raja est en attente de son extradition vers le Maroc pour son implication supposée dans une affaire de crime financier.









