Festival Rab’Africa Rabat: Hatim Ammor et Ibtissam Tiskat électrisent l’esplanade du Bouregreg

La chanteuse marocaine Ibtissam Tiskat au Festival Rab'Africa de Rabat, le 12 aout 2025 (Y.Mannan/Le360).

Le 13/08/2025 à 14h25

VidéoDans le cadre de Rab’Africa Festival, l’esplanade du Bouregreg a vibré, mardi soir, au son de deux icônes de la scène musicale marocaine: Hatim Ammor et Ibtissam Tiskat. Une soirée intense où l’engouement du public a rencontré la virtuosité scénique.

L’esplanade du Bouregreg a résonné, mardi soir, au rythme entraînant de deux figures emblématiques de la scène musicale marocaine moderne: Hatim Ammor et Ibtissam Tiskat. Devant un public venu en nombre, les deux artistes ont offert une prestation mémorable, marquée par l’enthousiasme et l’interaction avec leurs admirateurs.

Cette soirée, qui s’est prolongée jusqu’à une heure tardive, a constitué l’un des moments forts du Festival Rab’Africa, rendez-vous culturel et artistique incontournable qui réunit chaque année à Rabat de grands noms de la musique marocaine et du continent africain. Lancé il y a cinq jours, l’événement s’inscrit dans le cadre des célébrations de Rabat, Capitale Africaine de la Culture, et se tient sous le haut patronage du roi Mohammed VI.

En marge des concerts, le festival déploie un programme varié mêlant performances musicales, animations culturelles et activités sportives, spécialement pensées pour l’ambiance estivale.

Dans une déclaration à la presse, Hatim Ammor, lauréat de la 5ème édition de Studio 2M et figure phare de la chanson marocaine depuis sa victoire en 2009, a salué «le public chaleureux venu nombreux» et affirmé son engagement à «produire davantage pour répondre à cet amour».

De son côté, Ibtissam Tiskat, révélée par Arab Idol et Star Academy Arab World, a exprimé sa joie de retrouver un public qui, selon ses mots, «lui offre toujours un accueil exceptionnel».

En conjuguant ferveur populaire et excellence artistique, cette soirée a confirmé la vocation du Festival Rab’Africa: faire vibrer la capitale au rythme des cultures africaines et marocaines.

Par Mohamed Chakir Alaoui et Yassine Mennan
Le 13/08/2025 à 14h25