Fatima Zahra El Aouni

Affaire «Escobar du Sahara»: un nouveau report, de nouveaux rebondissements
La Chambre des crimes financiers près la Cour d’appel de Casablanca a reporté, ce jeudi 27 novembre, la poursuite du procès des mis en cause dans l’affaire dite «Escobar du Sahara», en raison de l’indisponibilité d’un membre du tribunal. Parmi les principaux accusés figurent Saïd Naciri et Abdenbi Bioui, poursuivis pour blanchiment d’argent et trafic de drogue. L’audience a été renvoyée au jeudi 4 décembre 2025.
Addiction à «L’boufa»: des experts tirent la sonnette d’alarme
Vendredi dernier, la Faculté de médecine de Casablanca a accueilli la 5ème journée scientifique consacrée à l’addiction à «L’boufa», un dérivé du crack dont la consommation progresse au Maroc. Organisé par le CHU Ibn Rochd et l’Association Nassim, l’événement a réuni médecins et spécialistes pour faire le point sur la situation, et discuter des meilleures stratégies de prise en charge et de prévention.
Coupures d’eau à répétition à Berrechid: le gouverneur veut relier la ville à la future station de dessalement de Casablanca
Le gouverneur de la province de Berrechid, Jamal Khallouq, a annoncé son intention de plaider pour le raccordement de la ville à la station de dessalement de l’eau de mer de Casablanca, afin de mettre un terme à la crise de l’eau potable qui touche la région depuis plusieurs années.
Casablanca: ces projets titanesques qui transforment la capitale économique
Des entrées de la ville à ses grandes artères, en passant par les gares, le port et l’aéroport, Casablanca vit une véritable métamorphose urbaine. De nouveaux chantiers structurants redonnent du souffle à la métropole, promise à un nouveau visage.
GenZ212. À Casablanca, les jeunes réclament des réformes et rejettent la violence
Réunis ce jeudi 2 octobre sur la place des Nations Unies à Casablanca, de jeunes manifestants ont réclamé des réformes dans la santé et l’éducation, tout en condamnant les actes de violence. Témoignages.
Conseil national de la presse: l’ANME plaide pour une réforme globale
En marge de son assemblée générale, l’Association nationale des médias et des éditeurs (ANME) a réuni hier jeudi 18 septembre à Casablanca responsables, éditeurs et journalistes pour débattre de l’avenir du secteur. Entre réorganisation du Conseil national de la presse, amélioration des conditions des journalistes et défense de l’entreprise de presse, les interventions ont tracé les grandes lignes d’une presse marocaine en pleine mutation.
Idriss Chahtane réélu à la tête de l’ANME: cap sur les grands chantiers de la presse
Réunie en assemblée générale à Casablanca, l’Association nationale des médias et des éditeurs (ANME) a reconduit Idriss Chahtane à sa présidence pour un second mandat. Les éditeurs ont salué ses réalisations et mis en avant la nécessité d’assurer la continuité des réformes et des chantiers engagés pour renforcer le secteur médiatique.
Casablanca: le chantier du nœud autoroutier de Sidi Maârouf avance à grande vitesse
À Casablanca, le projet de réaménagement du nœud autoroutier de Sidi Maârouf prend forme à un rythme soutenu. Avec ses trois niveaux –une première au Maroc–, ce nouvel échangeur vise à fluidifier la circulation sur l’un des axes les plus empruntés du Royaume.
Plus de peur que de mal: la terre a de nouveau tremblé à Al Haouz
Un séisme de magnitude 4,6 a été enregistré ce mercredi 3 septembre 2025 dans la province d’Al Haouz. Ressenti jusque dans certaines grandes villes comme Casablanca, il a ravivé le souvenir douloureux du tremblement de terre de 2023. Les experts rassurent toutefois: l’activité sismique reste modérée et sans danger pour les nouveaux bâtiments.
«Dallah» sous surveillance: la pastèque accusée à tort?
Alors que l’été bat son plein et que les étals regorgent de fruits de saison, une vague d’inquiétude déferle sur les réseaux sociaux marocains. En cause: des vidéos virales alertant sur d’éventuelles intoxications liées à la consommation de pastèque. Tandis que la polémique enfle en ligne, les autorités sanitaires tentent de calmer les esprits. S’agit-il d’un véritable risque pour la santé publique ou d’un emballement numérique sans fondement?