Vieux bidons, claviers usagés, téléphones hors d’usage... voilà la matière première, qui une fois passée par les mains expertes d’Ibrahim Bemba Kébé, prend les formes de sculptures qui «bouleversent nos perceptions», des personnages d’une société secrète, les Kôrêdugaw, que l’Unesco rappelle l’urgence de sauvegarder.