Tous les articles correspondant à #Tindouf

Deux Sahraouis au moins ont été tués hier à proximité immédiate de l’entrée de l’un des camps de Tindouf. Les habitants, témoins horrifiés de cet acte barbare, déplorent également neuf blessés, dont trois seraient dans un état critique. Ce nouveau carnage perpétré par la soldatesque algérienne contre des orpailleurs sahraouis rappelle tragiquement le scandale de 2020, où deux Sahraouis avaient été brûlés vifs dans un puits d’orpaillage après avoir été aspergés d’essence.

Les conflits internes au sein des services de sécurité du Polisario, exacerbés par des nominations contestées, suscitent de vives préoccupations quant à leurs potentielles répercussions sécuritaires à l’échelle régionale, notamment au Sahel. Une revue de presse tirée d’Assabah.

Le 5 août 1890, aux termes d’une convention secrète, la France et la Grande-Bretagne se mirent d’accord pour délimiter leurs sphères d’influence en Afrique. Londres laissa alors toute liberté à la France pour occuper les régions marocaines du Touat, du Gourara, du Tidikelt et d’Igli, ainsi que toute la vallée de la Saoura.

Après une avant-première réussie à Casablanca en novembre dernier, le film «Les évadés de Tindouf» a été projeté pour sa deuxième fois en salle, mercredi 26 février, cette fois-ci pour le public de Rabat. Entretien avec Abdelhak Najib, le réalisateur.

Recteur controversé de la Mosquée de Paris, Hamza Boubakeur a marqué de son empreinte la gestion du lieu de culte de 1957 à 1982. Derrière cette façade religieuse se dessine une carrière tissée d’ambitions politiques, de promesses coloniales non tenues, et de manipulations visant à effacer la marocanité de l’édifice. Cette trajectoire, éclairée par des archives de l’époque, révèle un homme au cœur des intrigues contre le Royaume.

L’ONG américaine Human Rights Watch (HRW), ainsi que la Coalition des ONG sahraouies, dénoncent, lors de la tenue du congrès mondial sur les disparitions forcées à Genève, les arrestations arbitraires, les tortures et les disparitions forcées commises par le Polisario contre les séquestrés de Tindouf avec la bénédiction du régime militaire algérien. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Avec la création de deux nouveaux postes militaires dans les camps de Tindouf, l’Algérie a mis en œuvre un projet visant à encercler davantage les populations séquestrées. La construction d’une voie ferrée a été utilisée comme prétexte pour renforcer le contrôle des camps. Une revue de presse tirée du quotidien Assabah.