Lors du match Algérie-Somalie, l’image de Ryad Mahrez, cherchant en vain une bouteille d’eau pour se rafraîchir, est devenue emblématique d’un pays confronté à une situation préoccupante de stress hydrique. Pendant ce temps, les généraux du palais d’El Mouradia semblent indifférents, tandis que le président Tebboune s’enferme dans sa bulle, multipliant les promesses bidon, à l’image de celle — mémorable — annonçant la production de 1,3 milliard de mètres cubes d’eau par jour grâce au dessalement de l’eau de mer.