L’instauration progressive de droits d’inscription dans plusieurs universités marocaines, appliqués aux fonctionnaires souhaitant poursuivre leurs études supérieures, provoque une vive controverse. Jugée contraire au principe de gratuité de l’enseignement public, cette mesure, dont le cadre légal reste flou, soulève nombre de questions. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.