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Une étude récente de Bank Al-Maghrib montre que les variations des taux d’intérêt influencent directement les prix de l’immobilier au Maroc. Si l’impact reste modeste, il révèle la sensibilité du marché et les enjeux de transmission monétaire dans un contexte de croissance et de stabilité financière. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Bank Al-Maghrib avance avec prudence dans la réforme du régime de change. Si l’abandon de l’ancrage au panier de devises n’est pas à l’ordre du jour, l’institution se prépare à introduire le ciblage d’inflation dès janvier 2027, après une année test prévue en 2026.

À l’issue de sa réunion du mardi 23 septembre, le Conseil de Bank Al-Maghrib a choisi de maintenir inchangé son taux directeur à 2,25 %, tout en réaffirmant son engagement à suivre de près l’évolution de la conjoncture économique nationale et internationale.

Suite à sa réunion ce mardi 24 juin, le conseil de Bank Al-Maghrib a décidé de maintenir le taux directeur inchangé à 2,25%.

Le rapport Africa’s Pulse de la Banque mondiale dessine une Afrique subsaharienne à trois vitesses: les pays réformateurs qui capitalisent sur une gouvernance monétaire crédible, les économies fragiles qui peinent à juguler les crises de change et les «autres», notamment les pays en situation intermédiaire où l’inflation recule mais reste élevée, ou ceux en pause monétaire.

La baisse du taux directeur boostera aussi bien l’investissement que la consommation, indique l’économiste Mohammed Jadri. Toutefois, nuance-t-il, cet impact est à relativiser, le taux directeur n’étant pas le seul facteur déterminant pour la croissance économique.

La baisse du taux directeur au Maroc vise à stimuler l’investissement et l’emploi, mais son efficacité reste incertaine face à une crise structurelle. Le gouvernement propose des mesures, mais leur impact réel suscite des doutes. Cet article est une analyse tirée du quotidien Les Inspirations Éco.

Lors d’une conférence de presse tenue le mardi 18 mars, le Wali de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, a abordé divers enjeux, cruciaux, parmi lesquels la réduction du taux directeur, l’inflation, le financement des TPE et la monnaie digitale. Il a notamment exprimé ses préoccupations quant aux nouvelles orientations de l’Union Européenne, concernant les banques étrangères, soulignant leur impact potentiel sur la balance des paiements et les dépôts bancaires des MRE. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.

Contre toute attente, Bank Al-Maghrib a réduit son taux directeur de 25 points de base à 2,25%. Une décision que Abdellatif Jouahri, wali de la Banque centrale, explique par la conjonction d’un nombre de facteurs favorisant un nouvel assouplissement de la politique monétaire. Les détails.