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Trois mois après l’inauguration d’une nouvelle station de pompage financée par la Banque africaine de Développement, les habitants de nombreux quartiers de Libreville continuent de se battre au quotidien pour s’approvisionner en eau potable.

Les robinets sont à sec depuis plusieurs semaines à Nouakchott. Les populations de la capitale sont confrontées à une pénurie d’eau aigue devenue un véritable calvaire pour les ménagères.

Artiste conceptuel et écrivain reconnu, Hicham Lasri opère un retour fracassant avec un nouveau roman «Cloud cowboys» où il livre une vision incandescente et inoubliable d’un monde à l’agonie, où l’espoir est la dernière ressource. En exclusivité, Le360 en publie les bonnes feuilles au fil des épisodes.

En Iran, l’heure est au repli. Après les revers militaires essuyés par le régime et ses relais — le Hezbollah au Liban, le Hamas à Gaza et les milices en Syrie — la République islamique se voit contrainte de recentrer ses priorités sur son territoire, ses enjeux internes et sa quête d’influence régionale.

Le bassin d’Oum Errabia a sans doute été le plus affecté par le stress hydrique. Plusieurs projets ont été menés pour faire face à la pénurie d’eau potable et d’irrigation, dont le dessalement, l’autoroute de l’eau et la construction de nouveaux barrages. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

L’économie nationale pourrait subir un coup dur en raison de la sécheresse et de la raréfaction des ressources en eau. Les prévisions de la Banque mondiale sont loin d’être rassurantes. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

À Dakar, l’eau courante demeure un luxe pour de nombreux habitants. Malgré les efforts des autorités visant à améliorer l’accès à l’eau potable, les coupures restent fréquentes. Dans certains quartiers, les robinets restent secs pendant des heures, voire des jours, contraignant les citoyens à recourir à des solutions alternatives coûteuses, comme les camions-citernes ou les forages. Ces interruptions régulières perturbent la vie quotidienne des Dakarois, restreignant leur accès à une ressource aussi essentielle que l’eau potable.

Des bidons, beaucoup de bidons, des bidons à longueur de journée... la valse des jerricans rythme la vie dans ce quartier de Conakry, la capitale du «château d’eau d’Afrique de l’Ouest», là où naissent les fleuves Sénégal et Niger et là où il pleut plus de 2 mètres par an. Et quand les robinets sont à sec, les habitants creusent de couteux forages avec des risques insoupçonnés.

Nouakchott traverse une crise d’eau aigüe, et la raison est à dénicher dans les eaux devenues boueuses du fleuve Sénégal en raison des pluies abondantes pendant l’hivernage qui s’étale de juillet à octobre. Et c’est aux femmes, qui suent sang et eau, que revient la corvée d’approvisionner la maison en ce précieux liquide.