Troisième force politique au Parlement européen, la formation des «Patriotes pour l’Europe», regroupant les partis d’extrême droite français, hongrois et espagnol, n’obtiendra pas de postes de vice-président. Favorable au soutien militaire à l’Ukraine, ECR, l’autre groupe d’extrême droite, échappe quant à lui au «cordon sanitaire».