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La campagne de lutte contre l’occupation du domaine public ne fait pas que des heureux. Les usagers des terrasses de cafés sont en colère, et le font savoir. Devant la Brigade, un habitué des lieux dénonce l’opération de libération de l’espace public menée actuellement par les autorités et appelle à tenir dûment compte des bienfaits de ces terrasses pour la société.

Visé par plusieurs plaintes, le youtubeur Ilyas Elmaliki reste en détention en attendant son procès. Devant la Brigade, il présente ses excuses et implore le pardon des associations amazighes qui le poursuivent en justice pour injure et diffamation. C’est que le célèbre streamer veut à tout prix participer à la Coupe du monde de la Kings League, organisée par Gerard Piqué qui l’a nommé président de l’équipe nationale marocaine.

Auteur d’un excellent début de saison avec le Real Bétis et remarquable au sein des Lions de l’Atlas, Abdessamad Ezzalzouli a prolongé son contrat avec le club andalou jusqu’en 2029 et fait chavirer les cœurs dans la planète football. Au point que toutes les plateformes dédiées ne jurent plus que par lui…et en darija. Ça méritait bien une convocation à La Brigade.

L’artiste Mohamed Rifi n’en finit pas de faire parler de lui. Alors qu’il a déjà annoncé avoir mis fin à sa carrière, le lauréat de l’édition 2013 de l’émission «The X Factor Arabia» crée à nouveau le buzz avec son divorce, lequel coïncide avec la sortie d’une nouvelle chanson intitulée «Gamdine». Convoqué par La Brigade, voici sa version des faits.

Après la fausse boxeuse des JO, voici le faux diplomate et vrai catcheur de la TICAD. Devant La Brigade, Abdennour Khelifi explique les motivations l’ayant conduit à agresser un représentant marocain: à l’instinct animal d’un taureau que le rouge du drapeau marocain rend fou de rage, s’ajoute la fiche de paie, puisque «no pain, no gain». Il faut bien manger et, à l’évidence, Khelifi en a bien plus besoin que la moyenne.

Il a jugulé les effets dévastateurs du Covid-19 sur le tourisme, tenu bon face à ceux du séisme d’Al Haouz, mais cette fois, il n’en peut plus. Devant la Brigade, un primate de Jemaâ El Fna manifeste sa colère contre ces malheurs qui se suivent et entament invariablement son gagne-pain. Ne serait-ce que par respect donc, ne dites plus «variole du singe», mais mpox. Ce serait la moindre des sollicitudes.

Il n’en peut plus du mésusage dont il fait l’objet, tant par les ménages et les industriels que par les agriculteurs. Usé et abusé, il se dit victime même des «routini lyawmi» qui aiment à se déhancher en le maltraitant. Cette fois, c’en est trop et le robinet décide à son tour de hausser le ton: ce sera la parcimonie ou la grève générale. L’arrêt sera net et pour longtemps. Alors, ça vous tente?

Jadis surnommée «le fruit du pauvre», la figue de barbarie est en passe de devenir un aliment tendance. Avec un prix qui atteint des sommets inédits, avoisinant les 8 dirhams l’unité, la «Hendiya» rivalise désormais avec les fruits les plus chers au Maroc. Saisie du dossier, la Brigade a ouvert une enquête.

Emportés par la vague de glow up que connaissent les plages marocaines, les loueurs de parasols n’ont plus que leurs yeux pour pleurer. À l’ombre de leur source de revenu, devenue désuète. Ils avaient pour habitude de faire la loi sur nos côtes sablées, imposant ordre et même désordre. Aujourd’hui, c’est leur activité qui tombe sous le coup de la loi. Leur porte-parole s’explique. Un peu mieux que certains «autres» d’ailleurs.