Tous les articles correspondant à #Investissements

Africa Investment Forum: à Rabat, 41 projets «prêts à investissement» présentés aux bailleurs de fonds
Alors que la dette en devises étrangle les économies, l’Africa Investment Forum (AIF) accentue son rôle dans l’intégration financière africaine. Avec 225 milliards de dollars mobilisés depuis 2018, découvrez le portefeuille stratégique de l’AIF 2025, où partenariats public-privé et réformes structurelles redessinent l’avenir du continent.
Nearshoring: l’Afrique peut-elle convertir l’afflux des IDE en industrialisation durable?
Sous l’effet croisé des tensions géopolitiques, de la reconfiguration des chaînes de valeur et de la recherche de nouveaux relais de croissance, l’Afrique devient progressivement une destination explicite de délocalisation et de «nearshoring» pour les industries manufacturières et certains services. Alors que l’Asie voit ses coûts augmenter, le continent africain attire davantage d’investissements, notamment dans l’automobile, l’aéronautique, le textile, l’agro-industrie et les services externalisés.
Dispositif d’appui aux TPME: ce qui reste à faire, selon l’expert Zakaria Fahim
Le nouveau mécanisme d’appui aux TPME, désormais pleinement opérationnel, marque une importante avancée, mais son impact réel dépendra de réformes complémentaires: élargissement de l’éligibilité, modernisation des outils de financement, simplification administrative, accélération des décaissements et intégration des TPE, des auto-entrepreneurs et des entités informelles, avertit l’expert Zakaria Fahim.
«Sans infrastructures ni expertise»: que fera l’Afrique de ses 64 gisements de minerais critiques?
Avec 64 gisements recensés et plus d’un milliard de tonnes d’oxydes de terres rares estimés, l’Afrique s’impose comme un futur pilier de l’offre mondiale. Cependant, une réalité reste problématique: la majorité des minerais extraits seront encore expédiés à l’étranger pour raffinage, notamment en Chine, qui concentre près de 90% des capacités mondiales.
Charte de l’investissement: le dispositif de soutien aux TPME désormais opérationnel
C’est un tournant majeur pour les petites entreprises marocaines: le dispositif de soutien aux TPME prévu par la Charte de l’investissement entre désormais en phase d’exécution. Ce mécanisme combine primes, accompagnement régional, gouvernance décentralisée et une approche contractuelle pour relancer l’investissement et l’emploi à l’échelle du Royaume. Les détails.
Domaines de l’État: 1,5 million d’hectares mobilisés pour les investissements
Le rapport annuel de la Direction des domaines de l’État dévoile la mobilisation stratégique de plus d’un million et demi d’hectares. Un levier essentiel pour soutenir l’investissement, créer des emplois et accompagner les grands chantiers structurants du Royaume. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.
Course à l’IA: les grands groupes s’endettent à grande échelle, les investisseurs restent confiants
Meta a levé d’un coup, jeudi, 30 milliards de dollars de dette, une opération inhabituelle pour les géants technologiques mais qui se banalise ces derniers mois pour financer le développement accéléré de l’Intelligence artificielle (IA), avec le blanc-seing des marchés.
En 2024, le chiffre d’affaires industriel atteint 898 milliards de dirhams, selon Ryad Mezzour
En 2024, l’industrie marocaine a franchi un nouveau cap, avec un chiffre d’affaires atteignant 898 milliards de dirhams et des investissements en forte hausse. Selon le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, ces performances témoignent de la maturité du tissu productif national et de son rôle moteur dans la création de valeur et d’emplois.
Sénégal. Diaspora bonds: l’État tend la main, les expatriés hésitent à mettre la leur à la poche
Face à l’impératif de redressement économique et à un endettement record, le Sénégal innove en lançant le «Diaspora bonds», une initiative qui fait des Sénégalais de l’extérieur des investisseurs privilégiés du développement national.
Croissance sans emploi
Malgré deux décennies de réformes et d’investissements colossaux, l’économie marocaine peine toujours à convertir sa croissance en emplois durables. Tel est le constat sévère dressé par l’Institut royal d’études stratégiques, qui livre un diagnostic sans détour, des comparaisons internationales et des pistes de refondation pour réconcilier productivité, équité territoriale et inclusion sociale.