Contrairement à certains pays d’Afrique, la loi ivoirienne ne pénalise pas l’homosexualité, le «woubi» local qui s’est invité cet été sur la toile, entre les personnes qui affichent et assument leur orientation sexuelle et celles qui les dénoncent jugeant ce choix contraire aux mœurs du pays. Un débat semble s’être installé, parfois violemment.