Les étudiants algériens, pour une bonne partie d’entre eux, viennent en France où ils ont famille et amis, et souvent ne repartent pas en Algérie. Quand en effet, on a passé trois ou quatre années en France, on éprouve peu d’envie de retourner dans la grisaille algérienne… Ce n’est pas le cas des étudiants marocains, car les perspectives économiques du Maroc sont plus attrayantes.