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En quatorze mois, l’interconnexion des bassins de Sebou et de Bouregreg a acheminé 484 millions de mètres cubes d’eau au barrage Sidi Mohammed Ben Abdellah.

A l’approche de la saison de la récolte des olives, le risque environnemental des margines, les résidus liquides issus des huileries, refait surface. Ces déchets, souvent mal gérés, constituent de graves menaces pour l’environnement, notamment pour les ressources en eau. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Faute de drainage et d’entretien réguliers, les bassins de rétention des eaux de pluie, lancés par l’ancien président Abdoulaye Wade, peinent à remplir leur mission. Censés canaliser les eaux pluviales vers la mer, ces dispositifs constituent désormais un risque de santé publique.

Un incident environnemental a récemment perturbé la quiétude des jardins de la Ménara à Marrakech. Des poissons du célèbre bassin sont morts après avoir été nourris de manière inappropriée par des visiteurs. Après quelques semaines de travail pour rétablir l’équilibre écologique, la situation s’est stabilisée, redonnant aux lieux leur splendeur naturelle et récréative.

L’Agence du bassin hydraulique de l’Oum Er Rbia poursuit ses efforts pour pallier la grave pénurie de ressources en eau enregistrée au niveau du bassin. Deuxième plus grand réservoir artificiel du Maroc, le barrage Al Massira est aussi le plus touché, en raison des années successives de sécheresse.

Après une baisse sans précédent, le taux de remplissage du barrage Al Wahda, le plus grand du Royaume, renoue avec une tendance à la hausse, notamment après les récentes pluies du mois de mars dernier. Le360 a effectué une visite sur les lieux.

À ce lundi 15 avril, le taux de remplissage des barrages relevant de l’Agence du bassin hydraulique du Sebou a atteint les 51,15%, avec un volume de retenues dépassant les 2,84 milliards de mètres cubes, selon un bulletin du ministère de l’Équipement et de l’Eau.

La crise de l’eau qui sévit au Maroc commence à se faire ressentir de manière alarmante, mettant en péril l’approvisionnement en eau potable et agricole de plusieurs villes importantes, dont Fès et Meknès. Nourredine Serghini, responsable de la communication de l’Agence du bassin hydraulique du Sebou (ABHS), décrit la situation critique au niveau du barrage Idriss 1er.

Le bassin hydraulique du Bouregreg et de la Chaouia est d’une importance cruciale car il fournit de l’eau potable à environ un quart de la population marocaine, située sur l’axe Salé-Casablanca. Cependant, les réserves d’eau ont chuté en raison de plusieurs années de sécheresse. Le point avec Abderrahim Elguezzar, chef du service de gestion des ressources en eau de l’Agence du bassin de Bouregreg et de la Chaouia.