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Dans son briefing, lundi 14 avril, au Conseil de sécurité, l’émissaire de l’ONU au Sahara occidental présente l’autonomie comme unique solution au différend et appelle à profiter du «nouvel élan» que connaît le dossier, citant comme marqueurs de l’évolution la reconnaissance par la France et les États-Unis, deux membres permanents du Conseil de sécurité, de la souveraineté du Maroc sur le Sahara. Un tournant majeur dans un dossier qui rapproche à grands pas de la solution définitive.

La rencontre à Washington entre le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, a esquissé les contours d’une approche qui semble se dessiner au niveau international. L’accent est mis sur la reconnaissance de la marocanité du Sahara et la prééminence de l’autonomie, comme cadre de négociations. Cet article est tiré d’une revue de presse du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

Des directives attribuées à la ministre de la Solidarité, de l’Inclusion sociale et de la Famille, Naïma Ben Yahia, laissent présager une possible suppression du programme Jisr. Toutefois, la tutelle évoque plutôt une révision après une évaluation de son impact. Lancé pour favoriser l’insertion sociale et économique des populations vulnérables, le programme se heurte à plusieurs obstacles limitant son efficacité. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

La Belgique considère l’initiative marocaine d’autonomie comme une très bonne base pour une solution acceptée par les parties, a déclaré son ministre des Affaires étrangère, Bernard Quintin, après un entretien avec son homologue marocain Nasser Bourita, ce mercredi 29 janvier à Rabat.

Plusieurs sections du Congrès national africain (ANC), parti au pouvoir en Afrique du Sud, ont appelé, dans un mémorandum remis mercredi au Secrétariat du parti à Johannesburg, au renforcement des relations bilatérales avec le Maroc et à reconnaître l’appui inestimable du Royaume dans la lutte contre l’apartheid.

Les deux puissances coloniales, l’Espagne et la France, qui connaissent le mieux le dossier et savent pertinemment les amputations territoriales dont a fait l’objet le Maroc, ne reconnaissent qu’une seule solution au conflit factice du Sahara: l’autonomie.

L’Estonie, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Margus Tsahkna, vient d’apporter à Rabat son soutien au projet d’autonomie du Sahara marocain. Le chef de la diplomatie estonienne a également exprimé la volonté de son pays de raffermir son partenariat avec le Maroc.

Le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita s’est entretenu, le mercredi 25 septembre à New York, avec le ministre des Affaires étrangères du Danemark, Lars Løkke Rasmussen, en marge de la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations unies.