Tous les articles correspondant à #artisanat

La première Semaine internationale de l’artisanat touareg se tient jusqu’au 1er décembre 2024 à Bamako. Entre traditions, culture et créativité, cet évènement est dédié à l’ensemble des pays de l’Alliance des Etats du Sahel: Mali, Burkina Faso et Niger qui partagent un même espace géographique, social et culturel.

Les locaux de l’Office du complexe olympique de Nouakchott (OCO) ont abrité la cérémonie de démarrage de la deuxième édition des Journées nationales de l’artisanat de Mauritanie (JONAM), placées sous le thème «réinventons l’artisanat pour les générations futures».

Nouakchott abrite du 22 au 26 novembre la 2e édition des Journées nationales de l’artisanat de Mauritanie (Jonam). Dans ce cadre, un important pavillon est dédié aux exposants des provinces du Sud du Royaume du Maroc. Les artisans marocains y exposent de la bijouterie, le cuir et les vêtements traditionnels qui sont aussi des symboles de liens artisanaux séculaires qui reflètent un patrimoine commun entre les deux pays.

Seuls les secrétariats d‘État à l’Artisanat et à la Pêche maritime, parmi les six nouvellement créés dans le nouveau gouvernement Akhannouch, ont reçu leurs attributions, a appris samedi Le360 de source autorisée.

De nombreux ouvriers du monde rural ont migré vers d’autres secteurs tels que le commerce, le transport et l’artisanat. Conséquence: de nombreux exploitants craignent le manque de main-d’œuvre, surtout qualifiée. Cet article est une revue de presse tirée de Finances News.

À moins de trois jours de la clôture, le Salon international de l’artisanat de Ouagadougou bat son plein. Avec plus de 30 pays participants, environ 4000 exposants et 50 acheteurs professionnels, les artisans espèrent faire de meilleures affaires que les années précédentes.

Faisant l’objet de tentatives répétées de spoliation, le caftan marocain est au centre d’une démarche de protection et de valorisation via la création d’un label dédié. L’initiative, émanant du ministère du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire, vise à garantir l’authenticité de ce vêtement traditionnel, tout en préservant le savoir-faire artisanal qui le caractérise. Dans cet entretien avec Le360, la ministre Fatim-Zahra Ammor revient sur l’importance de ce label et sur le processus de sa création.

À quelques jours de l’inauguration du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO), l’effervescence est palpable chez les communautés des artisans de la capitale.

Charrues, semoirs, marmites, balances à bascule... tout se fabrique dans cet atelier de Bamako où exerce Nah Fané «la seule femme qui fait ce métier au Mali», se plait à dire cette quinquagénaire. Depuis 40 ans, elle est prise entre le marteau de la tradition et l’enclume de l’indépendance économique. Elle est forgeronne.