Tous les articles correspondant à #alliance des etats du sahel

Bamako. Facteur de paix et source de revenus: l’artisanat fédère les créateurs du Sahel
Le salon de l’artisanat, jusqu’au 7 décembre à Bamako, est la vitrine d’un savoir-faire qui ne manque pas d’arguments pour séduire le marché international. Créatif et concurrentiel, l’artisanat marocain y est représenté par la Chambre de la région de Rabat. Cette «invitée spéciale» a noué un partenariat avec son homologue des métiers du Mali.
Le souverainisme africain revisité
En quelques années, le Sahel central a vu émerger une nouvelle grammaire du pouvoir. Les juntes qui s’y sont imposées rejettent la présence occidentale et recyclent des éléments d’un panafricanisme né bien avant les indépendances. Leur socle narratif puise largement dans les répertoires panafricanistes, mais aussi dans ceux du souverainisme.
Mali. Pour les pays de l’AES, l’alliance passe aussi par l’entreprenariat
Agro-industrie, artisanat, numérique, services... c’est autour de ces secteurs porteurs de création d’emplois que s’articule le 1er Salon de l’entreprenariat de la Confédération des États du Sahel. Entrepreneurs et décideurs politiques examinent les voies à même d’en faire un facteur de développement du Mali, du Burkina Faso et du Niger, des pays au profil économique similaire.
Réappropriation des minerais: l’Afrique de l’Ouest, nouveau gisement du souverainisme économique
Renégociation des contrats, révision des codes miniers, nationalisation… depuis quelques années ces termes sont à la mode en Afrique où les gouvernements souverainistes tentent de se réapproprier les ressources naturelles. Cette politique adoptée face aux intérêts des multinationales met en avant les rapports conflictuels entre ces Etats et les investisseurs étrangers. Ces pays du continent ont recours à des méthodes très variées.
Foire internationale de l’AES: un espace pour tisser des relations d’affaires entre commerçants
La 1ere Foire de l’AES se tient jusqu’au 25 septembre à Bamako. Mali, Niger et Burkina Faso ont annoncé, en avril dernier, un droit de douane commun de 0,5% sur les importations en provenance de pays non membres de leur confédération afin d’harmoniser leurs politiques commerciales.
Mali. 2e camp de la brigade citoyenne: faire des jeunes des acteurs de changement
La 2e édition de la brigade citoyenne a été célébrée au Centre international de conférences de Bamako, le 20 août 2025. Le Premier ministre du Burkina Faso, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo était l’invité de cette édition.
Bamako: un défilé de stylistes pour que la paix soit toujours à la mode
Après les étapes de Niamey et de Ouagadougou, le défilé de mode organisé sous forme de caravane pour la paix initié par le célèbre styliste Alphadi a fait escale à Bamako. A travers la revalorisation des tissus africains, ce défilé de mode était porteur d’un message pour la paix.
Mali: «L’Algérie n’a plus de levier d’influence», estime Nouhoum Keïta, politologue
La destruction d’un drone militaire d’observation malien par l’armée algérienne continue de susciter de vives réactions au Mali. Nouhoum Keïta, analyste et homme politique malien, condamne l’attitude hostile algérienne et explique l’isolement de ce pays qui n’a plus de profondeur stratégique.
Isolement inédit de l’Algérie: le Mali, le Niger et le Burkina Faso rappellent leurs ambassadeurs
Dimanche 6 avril, le Mali et ses deux alliés au sein de l’Alliance des États du Sahel ont annoncé, dans un communiqué commun, le rappel de leurs trois ambassadeurs à Alger. Cette décision fait suite à une enquête qui aurait prouvé que le drone malien abattu la semaine précédente par le régime algérien se trouvait en territoire malien, un acte qualifié d’«hostile» et «prémédité». Pour les autorités maliennes «le régime algérien parraine le terrorisme international». À l’Ouest, au Sud et à l’Est, est-on tenté d’ajouter.
Confédération des États du Sahel: comment justifie-t-on les 0,5% de «prélèvement confédéral»
Le Président du collège malien de transition, Assimi Goïta a signé une décision qui impose un «prélèvement confédéral» de 0,5 % sur les marchandises qui entrent dans les trois pays de la Confédération des États du Sahel, le Mali, le Niger et le Burkina Faso. Un droit de douane, non applicable aux marchandises en transit ou issues de ces pays, qui suscite diverses réactions.