Dans un post publié ce mardi 12 septembre sur LinkedIn, Jamila El Alami, directrice du CNRST, explique que «le but de ce réseau est de renforcer l’enregistrement de toutes les répliques ainsi que les accélérations générées par celles-ci dans cette zone».
Selon l’experte, «ces répliques et leurs accélérations seront utilisées pour identifier d’une part les failles et les structures géologiques actives qui avaient généré le choc principal et, d’autre part, grâce aux accélérations, il sera possible d’avoir une idée du degré de risque pour les grands ouvrages de la région, notamment les barrages».
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Et de conclure: «Nous souhaitons un prompt rétablissement aux blessés et tout le courage aux secouristes impliqués dans les opérations de recherche. Le CNRST engage l’ensemble de ses ressources pour apporter son aide, aux côtés de tous les acteurs mobilisés, pour faire face à cette catastrophe.»