Dans un communiqué, Marc Funk, PDG de Recipharm, a indiqué que ce projet offrirait à l'Afrique “une opportunité d'acquérir progressivement une indépendance sanitaire vis-à-vis des pays occidentaux et contribuer à faire en sorte que le continent soit moins vulnérable en temps de crise”.
"Nous sommes bien placés pour assurer un transfert de technologie réussi et des opérations de fabrication de haute qualité", a-t-il indiqué.
Lire aussi : Projet de fabrication du vaccin Sinopharm: ce que le Maroc y gagne, ce qu'en dit l'expert Lbachir BenMohamed
Le Roi Mohammed VI a présidé hier, lundi 5 juillet 2021 au Palais Royal de Fès, la cérémonie de lancement et de signature de conventions relatives au projet de fabrication et de mise en seringue au Maroc du vaccin anti-Covid-19 et d'autres vaccins.
Ce projet vise à démarrer à court terme avec une capacité de production de 5 millions de doses de vaccin anti-Covid-19 par mois, avant de démultiplier progressivement cette capacité à moyen terme. Il mobilisera un investissement global de l’ordre de 500 millions de dollars.