Après le Bac, le casse-tête des filières

Un élève lors du passage des examens du baccalauréat. (Photo d'illustration)

Revue de presseChaque année, des milliers de bacheliers se retrouvent face au difficile choix d’un cursus supérieur. Dans cette revue de presse, tirée de l’hebdomadaire La Vie Eco, les futurs étudiants trouveront un éclairage sur les paramètres à prendre en compte avant de choisir.

Le 12/07/2024 à 21h28

«Qu’est-ce que je veux faire dans la vie? Quel projet professionnel me correspond?». C’est  la question fondamentale que se posent les bacheliers avant de choisir leur établissement d’enseignement supérieur, souligne l’hebdomadaire La Vie Eco dans sa dernière livraison.

Pour y parvenir, explique l’hebdomadaire, «les futurs étudiants doivent évaluer objectivement leurs compétences et leurs aptitudes pour une spécialité donnée avant de porter leur intérêt pour celle-ci», tout en réfléchissant aux perspectives d’emploi.

Mais, fait remarquer la même source, la tâche ne serait pas toujours aisée, en raison surtout du manque d’orientation post-bac. Dans ce sillage, poursuit l’hebdomadaire, «les grandes écoles et les universités déploient toute une panoplie de stratégies pour attirer les flots de bacheliers fraîchement diplômés, avides de poursuivre leurs études supérieures dans des établissements de renom».

Les futurs étudiants scrutent les offres puis s’adressent aux services pédagogiques compétents en vue d’obtenir des informations claires et précises sur les différentes filières qui se déclinent en Bac-5 ou en masters spécialisés.

«Une fois le projet professionnel défini, vient le moment de choisir l’école», indique l’hebdomadaire qui conseille aux futurs étudiants de «se focaliser sur les détails qui font la différence face à l’abondance de publicités, forums, salons, brochures et guides».

De même, souligne La Vie Eco, «les ressources pédagogiques, la qualité du corps enseignant, la vie associative et la qualité de vie dans les campus sont autant de critères à considérer». La différence réside dans la qualité de l’enseignement sans oublier le coût des études qui reste un facteur à ne pas négliger, ajoute l’hebdomadaire. Car, rappelle la même source, «si les universités et les écoles publiques offrent des frais d’inscription relativement bas, les écoles privées peuvent coûter entre 30.000 et 80.000 dirhams par an, voire plus pour certaines filières».

Par Mohamed Younsi
Le 12/07/2024 à 21h28