Les militants des différents syndicats rencontrés lors des défilés du 1er mai à Tanger ont exprimé les mêmes préoccupations. Ils ont dénoncé en chœur la cherté la vie qui porte atteinte au pouvoir d’achat, le licenciement abusif et surtout les «promesses non tenues» du gouvernement. Ecoutons les doléances de la classe ouvrière tangéroise.
Par Said Kadry
Le 01/05/2018 à 16h27










