La rencontre qui sera élargie à d'autres responsables marocains, intervient quelques jours après que le gouvernement a décidé de geler tout contact avec les institutions de l'UE pour protester contre le "manque de transparence" qui a marqué la gestion de l'arrêt de la Cour européenne annulant l'Accord agricole et de pêche liant l'UE au royaume.
Le 26 février, l'UE, par la voix de Federica Moghreni, a assuré qu’elle était "prête à fournir les clarifications et assurances complémentaires pour répondre aux préoccupations du Maroc". Entre-temps, plusieurs pays, comme l'Allemagne, la France et l'Espagne, ont exprimé leur soutien au Maroc.