Le traître Radi Ellili a complètement perdu le nord. Pour plaire à ses caporaux d’Alger et servir la thèse séparatiste qu’ils soutiennent, arment et financent, il ne recule devant rien en investissant les réseaux sociaux pour nuire au Maroc.
Épousant follement les thèses de «Ghouili» et ses projets terroristes et séparatistes, il s’est rendu dans les camps des réfugiés pour se consacrer à la désinformation autour de l’intégrité territoriale du Royaume.
«Il croit que c’est la solution pour atteindre ses rêves et concrétiser ses ambitions», écrit Assabah de ce jeudi 8 août.
«Après sa dernière visite dans les camps de Tindouf, où il s’est enquis des massacres sur les lieux et de la situation dramatique des séquestrés, il a mis le cap sur la France pour poursuivre sa propagande trompeuse qui serait relayée par les brigades électroniques soutenues par le pouvoir algérien», indique le quotidien.
Selon Assabah, «il ne cesse d’inventer et de réinventer des histoires selon lesquelles ‘’des Marocains vivraient dans des conditions difficiles et seraient sur le point de fuir le pays rejoindre le voisin de l’est’'».
Il a poussé le bouchon de la désinformation encore plus loin en fomentant des allégations laissant entendre que «la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a adressé une correspondance aux directeurs et rédacteurs en chef des journaux».
Le démenti de la DGSN n’a pas tardé, faisant savoir qu’une enquête a été ouverte pour déterminer les circuits de transmission de ce document falsifié.
Il faut dire, conclut le quotidien, que les locataires du palais Al Mouradia ont fait de la haine et des hostilités à l’égard du Maroc leur mode de gouvernance.