Le gouvernement nomme un nouveau président à l'Université Ibn Zohr d'Agadir

Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement.

Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement. . Le360

Le Conseil de gouvernement, réuni ce mercredi 29 juillet à Rabat sous la présidence du Chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane, a approuvé une proposition de nomination à de hautes fonctions, conformément aux dispositions de l'article 92 de la Constitution.

Le 29/07/2015 à 19h30

Le Conseil de gouvernement a approuvé la nomination de M. Omar Halli au poste de président de l'Université Ibn Zohr à Agadir, a indiqué le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi, lors d'un point de presse à l'issue du Conseil.En outre, lors de ces travaux, le ministre de l'Education nationale et de la formation professionnelle a présenté un exposé sur la stratégie gouvernementale relative à la formation professionnelle qui a été adoptée par le Conseil.Par ailleurs, le Conseil a adopté le projet de décret No 2-15-606 fixant certaines dispositions transitoires au sujet des listes d'attente relatives aux concours de recrutement organisés jusqu'au 31 décembre 2015.

Ce projet, présenté par le ministre délégué chargé du Budget, fixe à 200% des postes en compétition, le nombre maximum de candidats inscrits sur ces listes d'attente, avec possibilité de laisser ouverte cette liste jusqu'au 31 mars 2016. Ceci, en vue d'offrir une nouvelle chance aux candidats admis mais qui n'ont pu rejoindre leur poste dans les délais impartis. Et, également, pour pourvoir les postes budgétaires signalés dans le paragraphe 2 de l'article 29 de la Loi de Finances 100.14 au titre de l'année budgétaire 2015.

Le but du projet, a expliqué le ministre, est de permettre aux administrations publiques d'exploiter l'ensemble des postes budgétaires qui leur sont octroyés dans la cadre de la Loi de Finances 2015, par le biais de concours de recrutement organisés jusqu'à la fin de l'année en cours sans devoir attendre 2016 pour l'organisation de nouveaux examens, à la faveur d'une simplification des procédures et une rationalisation des dépenses publiques.

Le 29/07/2015 à 19h30