Dans un communiqué, le BCIJ souligne que la personne concernée est l’épouse du mis en cause appréhendé à Témara et qui a opposé une résistance violente lors de son interpellation, menaçant la sécurité des éléments d’intervention rapide.
La même source affirme que les perquisitions menées par les officiers de la police judiciaire chargés de l’enquête dans le domicile du prévenu ont permis de saisir des gilets explosifs, des cagoules, des armes blanches, du matériel de soudure et de différents équipements utilisés dans la préparation des objets explosifs, outre des substances chimiques que l’expertise technique a confirmé qu’elles sont capables de fabriquer et préparer quatre types de matières explosives extrêmement dangereuses.
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Soulignant qu’une officier de la police judiciaire s’est chargée de la femme en question tout au long des opérations d’intervention jusqu’à la neutralisation du danger terroriste posé par son époux, le BCIJ dément encore une fois les allégations et les mensonges véhiculés par cette personne qui prétend que son époux n’était pas impliqué dans cette affaire, dans une tentative de remettre en question les mesures sécuritaires et procédurales prises sous la supervision des autorités judiciaires compétentes, et ce en alléguant que son mari n’a aucun rapport avec les objets dangereux saisis en sa possession et dans différents endroits de son appartement.