Dans un communiqué, le conseil d’administration de l’Observatoire s’est félicité de ces nouvelles adhésions qui sont de nature à «enrichir ses travaux eu égard aux missions de ces deux départements ministériels, portant respectivement sur l’élaboration de politiques et de réformes en faveur des TPE et sur la modernisation de l’administration publique, le développement du numérique, la bonne gouvernance, et l’accès à l’information et aux données publiques».
Ainsi, l’Observatoire continue de fédérer les efforts des parties prenantes autour de sa mission visant notamment la mise en place d’un dispositif informationnel robuste et fiable sur le tissu productif marocain, précise la même source.
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L’Observatoire a récemment approuvé sa feuille de route pour l’année 2022. Elle inclut notamment la mise en place d'une data factory, le développement de nouveaux outils technologiques pour le traitement des données, l'élargissement des études sur le tissu productif régional et le renforcement de la coopération aux niveaux national et international. Dans son dernier rapport, l’Observatoire appelle également à une accélération des réformes nécessaires à l’amélioration de la compétitivité du tissu productif.
Opérationnel depuis 2017 à l’initiative de la Banque centrale, le conseil d'administration de l'OMTPME était composé jusque-là, en plus de BAM, du ministère de l'Economie, de la Direction générale des impôts, du ministère de l'Industrie, du Haut-Commissariat au plan, de la Caisse nationale de la sécurité sociale, de la Caisse centrale de garantie (CCG), de l'Office marocain de la propriété industrielle et commerciale (OMPIC), de Maroc PME, du Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) et de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).